1. Les six week-ends marquants d'Emilie (5)


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... Emilie profite de la vue pendant que je fais des photos quelques mètres devant elle. En me tournant, je me baisse et je la photographie sans qu’elle ne me regarde. On voit toute son entrejambe. Je viens lui montrer la photo. Elle sourit.
    
    — C’est assez soft, j’aime bien.
    
    Agenouillé entre ses jambes, je remonte sa jupe et lui fais largement écarter les jambes. Elle ne dit rien. Je me recule :
    
    — C’est moins soft comme ça…
    
    Je prends la photo et la lui montre. Elle hoche la tête, elle aime moins. Je lui dis :
    
    — Tu prends la pose devant cette belle vue ?
    
    Sourire. Elle se lève et s’avance face au lac. Shooting. Emilie soulève rapidement sa jupe tout comme elle déboutonne son chemisier. Les photos sont tantôt soft, tantôt hard, comme lorsqu’elle écarte vulgairement ses fesses alors qu’elle est penchée en avant. Elle enlève rapidement son chemisier pour ôter son soutien-gorge qu’elle me lance et pose encore plusieurs minutes. J’ai fait environ deux cent de photos en dix minutes.
    
    Revenant vers moi, Emilie me dit :
    
    — Viens, on descend, tu me montreras les photos dans la chambre.
    
    Nous trottinons à la descente, croisons un couple et arrivons à l’hôtel en un petit quart d’heure, en sueur. Un homme est désormais à la réception et malgré sa discrétion, il jette plusieurs coups d’oeil furtifs à la poitrine d’Emilie qui transparait assez nettement de son chemisier. Nous récupérons notre clef et montons à pied à l’étage. Dans le couloir, Emilie lève sa jupe et nous ...
    ... faisons l’amour à notre arrivée dans la chambre.
    
    Notre étreinte est vive, intense et vraiment agréable. Je pense qu’Emilie n’a pas eu autant envie de faire l’amour depuis la naissance de Julien. Je prends énormément de plaisir à coucher avec ma femme et je ne peux m’empêcher d’espérer que ce week-end sera celui du renouveau. Nous nous endormons ensuite.
    
    Je me réveille alors qu’Emilie regarde la télévision à côté de moi. Elle me caresse les cheveux et me dit qu’il est temps de nous préparer. Elle s’est déjà douchée. J’y vais à mon tour et lui laisse ensuite la salle de bains. A 19h30, elle est prête : robe noire au décolleté très profond et pas de trace de soutien-gorge, talons noirs. Je l’embrasse, lui dis qu’elle est sublime. Elle sourit et rougit un peu. Je lui propose de faire des photos. Emilie pose alors devant la fenêtre. Debout, puis assise sur le rebord de celle-ci, elle remonte ensuite la robe sur sa cuisse et laisse apparaitre une jarretelles rouge sur le haut de sa cuisse. Je souris :
    
    — Ça fait combien de temps ?
    
    — Quelques mois. Je pense que j’en ai encore mis en septembre, mais plus par la suite.
    
    J’aime les bas, je les préfères aux collants. Mais le porte-jarretelles est mon péché mignon et Emilie le sait bien. Cela faisait donc huit mois qu’elle n’en avait pas remis. Je fais encore quelques photos avant qu’Emilie ne se lève. Elle se tourne face à la fenêtre et remonte sa robe, offrant à l’objectif ses fantastiques fesses ornées de porte-jarretelles, ...