1. Les six week-ends marquants d'Emilie (5)


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... derrière Emilie, puis nous remontons dans la voiture et poursuivons jusqu’à l’hôtel, un charmant établissement au bord d’un petit lac de montagne, comme posé ici par hasard. Car autour, il n’y avait aucun autre bâtisse, aucun autre lieu de vie. Uniquement la nature.
    
    La chambre est simple, pas très grande, mais cosy et chaleureuse. Emilie ouvre la valise et sort nos vêtements. Je vais aux toilettes. Quand je sors, je lui demande :
    
    — Avec ce soleil, on va se balader ?
    
    Emilie sourit, vient m’embrasser et dit :
    
    — Tu oublies les bonnes habitudes ?
    
    Dix secondes plus tard, elle a ma bite dans la bouche et commence à me sucer. Notre rapport est très conventionnel, mais je suis heureux, ravi même de ce début de week-end.
    
    Emilie reste dans la même tenue pour la balade. Elle troque ses bottes contre des baskets et nous partons. A la réception, on nous a indiqué deux itinéraires appréciés, l’un le long du lac, l’autre qui grimpe derrière l’hôtel jusqu’à un agréable point de vue, parait-il. Nous prenons un carte et partons sur les rives du petit lac. Pour la première fois depuis longtemps, nous nous baladons main dans la main. Nous papotons et parlons essentiellement de Julien. Emilie évite soigneusement le sujet "couple" et je n’ai pas envie de gâcher un si bon moment en lui imposant la discussion.
    
    Après trois-quarts d’heure de marche, nous arrivons à un croisement sans avoir vu personne. Je propose à Emilie d’escalader le coteau afin d’atteindre le point de vue ...
    ... indiqué par la réceptionniste puis de redescendre sur l’hôtel. Elle accepte. Nous buvons un peu d’eau.
    
    D’une zone ombragée, nous nous retrouvons en plein soleil sur une pente assez raide. Quelques mètres derrière moi, Emilie est à la peine :
    
    — J’ai chaud.
    
    Je l’attends en sortant la bouteille d’eau. Quand elle finit de boire, j’ouvre un bouton de son chemisier :
    
    — Si tu as chaud, mets-toi à l’aise.
    
    Elle sourit.
    
    — Si tu veux voir mes seins, c’est mieux d’en déboutonner encore.
    
    Elle ouvre deux boutons supplémentaires et écarte les pans de son chemisier.
    
    — Le soutien-gorge est fort joli, mais je ne vois pas tes seins.
    
    Emilie rit et écarte alors le soutien-gorge blanc pour exhiber sa poitrine laiteuse. Nous nous embrassons. Elle me dit :
    
    — On fera l’amour en rentrant ?
    
    — J’y compte bien.
    
    Elle repart devant moi et soulève sa jupe à intervalles irréguliers. Après dix minutes ainsi, je l’arrête.
    
    — Tu permets ?
    
    — Quoi ?
    
    — Le string m’empêche de bien voir. Tu me le donnes ?
    
    Son sourire coquin me surprend autant qu’il me ravit. Sans hésiter, Emilie ôte sa culotte et me la donne. Je la mets dans le sac à dos et nous repartons. La fin de la montée est divine.
    
    Au sommet, la vue est effectivement magnifique sur le lac et les montagnes alentours. L’hôtel n’est pas loin en contrebas. Malgré le chemin très bien balisé, l’endroit est sauvage et l’absence d’autres randonneurs rend le lieu assez mystique.
    
    Assise sur une pierre plate et basse, ...