1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1174)


    Datte: 14/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... en sortit un sexe volumineux et déjà bien bandé, qu’il fourra dans ma bouche sans aucun préambule. Je sentais que, ce qu’il voulait c’était vite en finir, alors il me baisait violement la bouche, rapidement, me maintenant la tête de ses mains puissantes derrière ma nuque. Je n’étais qu’un trou de plaisir dans lequel il avait hâte de se vider, ce qu’il ne tarda pas à faire, mais pas dans ma cavité buccale. Il me fit mettre en position prosternée et éjacula abondamment sur mes fesses de longs flots saccadés de sperme.
    
    - Attends ici, salope, que cela sèche, et tu pourras te rhabiller et partir. Je profiterai mieux de tes orifices de salope quand tu reviendras pour les essayages de ta robe.
    
    Et il sortit. J’attendis de longues minutes, sentant ma peau qui s’étirait sous sa semence. Quand je pus remettre mes affaires, je regardais rapidement l’heure. J’avais intérêt à me dépêcher si je ne voulais pas rater le bus qui me ramènerait au Château. Et comme une alarme sonnant l’heure du départ, mon œuf connecté se remit en route, rendant ma progression extérieure difficile, n’ayant pas eu le droit de jouir avec Monsieur Franck, et étant toujours excitée par la douleur de l’aiguille. Je sentais mon short qui s’humidifiait fortement entre mes cuisses de chienne en chaleurs. Je ne reçus aucun message, je restais donc debout dans le bus que j’avais réussi à prendre in extremis, restant très difficilement impassible sous les vibrations qui ne s’arrêtaient pas, qui changeaient de ...
    ... rythme. Ce n’était pas le même chauffeur qu’à l’aller, c’était une conductrice, une femme d’environ la cinquantaine, au regard sévère. Elle me dévisagea plusieurs fois dans son rétroviseur sans m’adresser la parole, sauf à la fin du trajet par un ‘au revoir’ laconique quand je descendis à l’arrêt du bus.
    
    Quand j’arrivais au Château, fatiguée par la marche et l’excitation d’un désir charnel inassouvi, Walter me prévient que le Maître m’attendait dans Son bureau. Dès que j’avais été hors de portée visuelle de passants éventuels, je m’étais déshabillée. C’est donc naturellement nue que je me présentais devant Lui, prosternée, Lui présentant mon cul. Sans un mot, Il s’approcha de moi, prit position derrière moi après avoir baissé son pantalon. Il enleva un œuf tout baveux de ma chatte trempée, et le remplaça par Sa Noble verge qui pointait fièrement vers le ciel, gonflée à souhait. Il me baisa méthodiquement, désespérément lentement pour la petite chienne en chaleur en manque que j’étais. Dès la première pénétration, j’eus envie de jouir, et il me fallut toute ma volonté pour attendre l’ordre libérateur, qui vint après plusieurs minutes de longs va-et-vient délicieusement frustrants. Je l’entendis, alors que j’avais senti que le rythme et Sa respiration avaient changé, annonçant une libération imminente. Il m’ordonna de jouir, au moment où Il se vida en moi, et qu’Il m’assenait une claque sonnante sur la fesse droite. Je partis alors dans un long et puissant orgasme dévastateur, ...