1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1174)


    Datte: 14/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... l’idée d’une robe de mariée, et ayant le droit de la choisir, alors je me mis en quête de trouver celle qui s’en rapprocherait le plus, ou celle qui serait l’exacte réplique de celle de mes rêves mais dans tous les cas une très belle robe, ne serait-ce que pour faire honneur aux Armoiries de la Famille des Evans, famille à laquelle j’allais entrer. Je dus faire toute la liste de magasins que le Maître m’avait donnés, et je commençais à désespérer de trouver la robe que je voulais, quand j’entrais dans le dernier de la liste. Un magasin de Villefranche-sur-Saône très luxueux visiblement, où une hôtesse me vit asseoir dans un fauteuil recouvert de velours blanc. J’avais presque honte de ma tenue si simple à côté de l’élégance et du faste des lieux. Mais je n’étais pas habillée n’importe comment, je l’étais par Celui à qui j’appartenais, et donc au lieu d’avoir honte, je me sentais fière de porter ce qui Le satisfaisait Lui. On m’apporta un classeur des différents modèles, et arrivée presque à la fin de celui-ci, je la vis enfin ! Ma robe… Un vrai coup de cœur, à l’évidence, elle ressemblait en tout point à ce que je rêvais de porter…
    
    Un col bateau bordé de fines dentelles et de guipure, un bustier à bretelles de cinq centimètres de large, cintré d’un laçage dans le dos qui devait magnifiquement mettre en valeur la poitrine, une jupe en tulle de soie brodée fleurs et de feuilles blanches, et en mikado de soie, avec une courte mais bien présente, traine d’une vingtaine ...
    ... de centimètres. Tout ce qui n’était pas tulle ou broderie était en satin duchesse, ivoire et nude. Je m’imaginais déjà la porter le jour J ! La personne qui s’avança vers moi commença par me détailler, sans rien dire. Elle devait penser que vue ma façon d’être habillée, je ne devais pas avoir les moyens de me payer ce style de robe. Cependant, elle prit mes mensurations, insistant, un peu trop à mon goût sur le prix que cela pourrait me coûter. En remplissant le bon de commande, elle demanda le nom des mariés. Au nom du Marquis d’Evans, son attitude changea immédiatement. Elle ouvrit de grands yeux, presque bouche bée et s’excusa auprès de moi, me demandant très poliment de patienter, et elle partit rapidement en direction de l’arrière-boutique dans ce qui devait être des bureaux, par une porte au fond du magasin…. Un moment après, un homme habillé en costume sombre arriva, me prit la main, qu’il baisa respectueusement, avant de se présenter. C’était le directeur du magasin, Monsieur Franck, grand ami du Noble, qui l’avait prévenu que je cherchais une robe et que je serais peut-être amenée à le visiter ce jour.
    
    - Venez, je vais m’occuper personnellement de Vous ! Les clients de marque nous en prenons soin.
    
    Et il me demanda de le suivre jusque dans l’arrière-boutique, puis sur un ton autoritaire, ferme, il me demanda aussi de me dévêtir totalement pour qu’il puisse pendre mes mesures au plus près pour que la robe soit parfaitement ajustée. Il commença par les mesures ...
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