1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1174)


    Datte: 14/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... classiques, largeur des épaules, tour de taille. Quand il prit celle de la poitrine, il me semblait qu’il la caressait plus que nécessaire, soupesant mes seins. Jusqu’à ce qu’il vienne me pincer les tétons me faisant sursauter.
    
    - Eh bien, la chienne, ne t’a-t-on pas appris à rester impassible quoi que l’on te fasse ? Cela méritera une punition, petite salope !
    
    Le ton avait changé par rapport à celui dans le magasin. Il s’éloigna pour attraper dans un tiroir deux pinces à linge qu’il me plaça sur les tétons, avant de donner de petites claques dans celles-ci, les rendant encore plus mordantes. Ayant compris que je me trouvais devant un Dominant, ma nature d’esclave MDE reprit le dessus. Jusque-là, pensant être en présence de personnes lambda, je n’étais pas restée sur mes gardes, d’où mon sursaut récent. Mais je ne me laisserai plus surprendre. Ensuite, il poursuivit ses mesures, des pieds à la tête, et ce qui était bizarre pour une robe, à mon avis, ou du moins pas indispensable, il me mit en position jambes écartées, mesurant chacune d’elles, en me caressant de la cheville, jusqu’à l’intérieur de mes cuisses, en passant par mon sexe, qu’il fourra de ses doigts qui se retrouvèrent rapidement couvert de cyprine, qu’il me fit ensuite lécher.
    
    Pour ma sanction, il prit un petit rouleau de soie, qui à sa taille devait servir pour faire des ceintures, et il m’attacha les poignets à une poutre. Puis il me banda les yeux, avant de rester un certain temps immobile et ...
    ... silencieux, me faisant un instant douter qu’il soit encore là. J’étais pourtant certaine qu’il n’avait pas quitté la pièce quand je sentis une, puis plusieurs piqures. Il avait pris une aiguille à coudre fine et il s’amusait à me piquer à divers endroits toujours sur des parties sensibles, comme mes seins ou mes lèvres intimes, dans la chair de mes fesses, parfois lentement, parfois de manière plus rapide, par moment jamais au même endroit, à d’autres il pouvait piquer une dizaine de fois au même endroit. Mon côté masochiste appréciait au début et je m’en trouvais fortement excitée. Mais le fait de ne pas pouvoir prévoir la prochaine piqure, le fait de ne pas pouvoir jouir de la situation, provoquait au final de la douleur, mais pas sous la pointe de l’aiguille, non, dans le sexe, qui gonflait de plaisirs réprimés et réclamait qu’on s’occupe de lui. Et mes sécrétions intimes en étaient la preuve. J’avais les cuisses qui en étaient maculées ! Je ne saurais dire combien de temps cette séance dura, ni combien de fois l’aiguille s’enfonça dans ma peau, mais je n’aurai pas été si bien éduquée, j’aurai supplié pour qu’il me prenne, qu’il me baise sauvagement. Quand il s’arrêta, il enleva mon bandeau, avant de regarder sa montre.
    
    - Je n’avais pas prévu qu’il serait si tard, il faut qu’on se dépêche, j’ai un autre rendez-vous ! Je vais te détacher, tu te mettras à genoux, mains dans le dos et tu ouvrirais ta bouche de putain.
    
    Je fis ce qu’il exigeait. Il ouvrit simplement sa braguette, ...