1. Eté 2018 Voisins voisines - Maria raconte sa vie


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Hardcore, Première fois Partouze / Groupe Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... repasserait m’embrasser demain avant qu’on s’envole tous les deux vers nos nouvelles vies…
    
    Les autres le suivirent, condoléances obligent…
    
    Le fils du maire, l’Entrepreneur, resta avec nous, nous faisant la conversation, nous étions un peu fatiguées…
    
    Quand mère se coucha, vidée et triste, Tante l’accompagna en disant aurevoir au jeune homme…
    
    Nous les regardâmes monter jusqu’à ce que la porte se referme…
    
    Fils s’approcha pour me remercier du repas et m’embrasser…
    
    Ce fut immédiat, comme un coup de foudre !
    
    Ses lèvres finirent sur les miennes…
    
    Ses mains soulevèrent ma robe noire, le volcan allait se libérer…
    
    Il me prit debout derrière la porte d’entrée, puis sur la table de la cuisine, on sortit à cause du bruit, et on recommença dans la grange, jusqu’au matin…
    
    J’avais eu des tas de relations sexuelles diverses et variées, consenties ou non, protégées ou non, professionnelles, tarifées ou commerciales, et je n’accordais plus guère d’attention à ma libido, enfouie au 10ème degré…
    
    Je baisais par habitude, rarement par désir pur…
    
    Je me gardais pour plus tard, en France. Pour mon mari.
    
    Mais là…
    
    Un phénomène ce garçon, sexe énorme, des bras puissants, un visage d’ange, des yeux verts déconcertants… Je comprends Tante…
    
    Il me démonta, me poussa au bord de l’asphyxie, me reprit dix fois, partout, même dehors dans sa voiture, pour le raccompagner et croiser le Maire à mon retour, que j’évitais de justesse, me piquant mes fesses dans les ...
    ... orties…
    
    J’étais défaite, ruinée, les yeux avec de gros cernes marrons, la chatte en berne, le derrière rougi et douloureux…
    
    Mère et Tante sourirent…
    
    - Ah, toi, tu as connu le loup…
    
    - Ma foi quel bel a****l !
    
    - Surtout la queue…
    
    - On te la prête volontiers, avec nos compliments…
    
    - Tu nous comprends maintenant…
    
    Oh que oui, mes chéries…
    
    Au matin, Emilio vint me voir, son avion était à 16 heures, il avait un train à 14h00…
    
    Les femmes récupéraient les enfants à l’école.
    
    Nous descendions vers la rivière, il était triste, me parlait de sa vie d’adulte, responsable, sérieux, adieu l’insouciance…
    
    Je me racontais longuement… Pour moi c’était pareil, mais je n’avais pas réussi. Il avait vu un film et m’avait reconnue… Je n’avais pas fait que ça, je possédais une société de mode que je voulais relancer sur Nice, ouvrir un site marchand sur Internet… C’est vrai que ce j’avais appris de lui, m’a servi, on n’oublie jamais sa première fois…
    
    - Je pensais que tu allais dire « Son premier amour »
    
    - C’était vrai… Je t’ai aimé Emilio, au fond de mon âme, quand tu me prenais, quand je pensais à toi, seule dans mon lit, en me caressant, tu étais pur Emilio, tu étais mon soleil, tu m’as fait découvrir le sexe, tu m’as ouverte à la vie, à l’amour, tu m’as faite femme, mais tu ne disais rien de toi, pour moi…
    
    - Je t’aimais à en crever… Je t’aime encore, depuis toutes ces années, ton souvenir, c’est ma bouée. Quand tout va mal, je pense à la grange, aux livres ...