Eté 2018 Voisins voisines - Maria raconte sa vie
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Partouze / Groupe
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... 55… Le maire en a soixante, mais ça marche le feu de Dieu… La première fois, on lui avait fait une soirée grenier, en culottes rouges, dans ton ex chambre… J’avais acheté, une folie, un grand lit rond, avec une grande glace ovale… Pour 4…
- Tous les 4 ?
- Non, le fils c’est Tante, elle lui fait sa compta le vendredi après-midi…
Il vient parfois le week-end… Mais rassure-toi je suis ménopausée…
Le dimanche suivant, on a refait le coup du pré, s’envoyer en l’air avec le Maire, en pleine nature, pas de cariole cette fois, il a une bite de taureau…
Le soir c’est celle de son fils qu’on a partagé, la même verdeur, en plus nerveuse…
Il nous lamine…
Il nous apprend des trucs modernes, qu’on fait maintenant dans les soirées bourgeoises, en ville, on joue… On doit lui obéir, faire ce qu’il dit…
On s’éclate, on le fait partout, même à minuit dans la rivière.
Le jeu que j’aime, attacher les poignets de Tante et il fait semblant de vouloir la violer dans le foin, elle ne doit pas se laisser faire tout de suite, s’enfuir dans la grange, sauter de botte en botte… Enfin lorsqu’il la tient, je dois l’aider à retirer lentement la robe, libérer les seins, descendre la culotte, la calmer, l’embrasser, la caresser devant lui, puis sortir son sexe énorme, que je dois chérir avant qu’il ne la prenne comme un forcené…
On l’a fait plusieurs fois, elle adore rouler-bouler dans le foin, me regarde dans les yeux quand je fais passer sa robe par les épaules et elle ...
... jouit comme personne quand le gros sexe s’enfonce en cadence dans ses entrailles, tandis que je caresse mes seins en gémissant de désir, devant eux, foufoune à l’air, écartelée…
On échange les rôles de temps en temps, je suis plus large de bassin à cause des grossesses, mais mes seins sont restés attirants.
Ma foufoune, je l’ai taillée avec le rasoir du Père, Peppo me l’avait demandé…
Il la photographie parfois, au soleil…
Il me prend aussi avec Tante, sa poitrine opulente que je caresse, sa chatte noiraude en bataille qu’elle présente à mes lèvres, et parfois il demande à Tante de nous photographier en pleine action tous les deux, son gros dard enfoncé en moi…
Puis on échange, moi l’appareil, elle Peppo, pour pauser et se faire sauter…
Il dit qu’il n’a pas de portable ici pour sortir les fichiers… Je ne comprends pas tout…
Le lendemain, Peppo mourrait…
Mère était atterrée…
Je pris l’avion, puis une voiture de location…
Elles étaient tristes, mais ils s’y attendaient.
J’assistais aux obsèques, les soutins, le maire aussi, le fils entrepreneur, était vachement beau, de mon âge…
Emilio était là, dans un beau costume noir. Ils n’avaient pas pu joindre le grand frère, ni leur sœur au japon…
Contre toute attente, une bonne partie de ses amis vinrent nous soutenir…
« Les amis de Peppo », chez nous, sachant combien nous avions été proches de lui et l’avions aimé… De véritables amis…
Emilio se retira pour retrouver sa mère, il me dit qu’il ...