Eté 2018 Voisins voisines - Maria raconte sa vie
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Hardcore,
Première fois
Partouze / Groupe
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... essayait de faire pousser quelques légumes.
Le père maçon, travaillait pour un entrepreneur qui était aussi le maire.
Il partait vers 5 heures chaque matin, rentrait pour la soupe, usé, buriné, exténué, pour un salaire de misère et se mit à boire plus que de raison.
La mère allait cueillir dans les champs dès 6 heures du matin, tomates, melons, olives, rentrait les récoltes, foin et paille.
Le maire lui proposa l’hiver d’aller à la fabrique où au moins elle était chauffée, elle avait des dons de couturière…
S’occuper des enfants devenait difficile, son salaire était nécessaire, vital.
Les deux jumeaux avaient deux ans et les filles avaient trois, quatre et cinq ans et huit pour Maria.
Elle lui demanda de la seconder à la maison.
Maria s’occupa de ses frères et de ses sœurs, seule toute la journée. Ils allaient au village à pied, elle était contente de les accompagner à l’école 2 fois par semaine.
Elle apprit à lire et à écrire en même temps que ses sœurs.
Un jour, elle rentra plus tôt, elle entendit sa mère à l’étage.
Elle était allongée dans le grand lit, elle criait, mais avait l’air contente, elle reconnut Peppo, leur riche voisin et propriétaire, quand il se retourna…
- Ah, tu es rentrée… Ce n’est rien, Peppo a eu la gentillesse de travailler le jardin ce matin. Je le remerciais de sa bonté, on jouait…
Elle aperçut quelque chose sortir du ventre de la mère lorsqu’il se releva, elle remonta le drap, et descendit pleurer…
- Je ...
... pensais qu’elle allait partir avec lui, comme dans mes roman-photo… Il n’était pourtant pas beau, et papa ne serait pas content…
Plus tard, elle parla du père comme d’un salaud, qui allait au bar en costume chaque dimanche disant qu’il allait à la messe. Il allait traîner avec des femmes de petite vertu, des veuves d’après-guerre, de plus jeunes femmes, plus belles, victimes des tremblements de terre qui avaient pris leur mari, leurs enfants, leur amant. Elles cherchaient le réconfort, échapper à la misère, quelques piécettes pour ouvrir leurs cuisses dans les arrières salles…
- Quel salaud de m’abandonner avec nos enfants, et nos soucis, alors je me venge…
Monsieur Peppo m’embauche à la fabrique, je t’apprendrai la couture, ça peut te sortir de ce trou… Et puis il a un fils Guiseppe, il va aller loin, il étudie à la ville, il va reprendre les affaires de son père…
- Je l’ai vu, c’est un grand, il reviendra ?
- Je pense ma chérie, il viendra te sauver…
Maria pensa au chevalier et à la princesse, au baiser… Sa mère avait embrassé Peppo sur le pas de la porte, mais rien ne s’était produit…
A neuf ans elle était une jolie jeune fille, elle avait hélas peu d’amies, trop loin, trop prise, Hélèna à l’école, avec ses tresses, qui passait de temps en temps, puis les étés, où sa tante amenait ses enfants, deux monstres mal élevés, et qui s’habillait comme une traînée, comme celles que mon père fréquentait au bar du village…
Peppo avait un autre fils plus jeune, ...