1. Les bonheurs de Sophie (3)


    Datte: 23/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Modianorouge, Source: Hds

    ... Dans ton intégrité.
    
    - Ohh Monsieur….
    
    - Allez lève-toi ! Voilà comme ça. »
    
    Il l’aide tout en la maintenant à distance pour ne pas se salir. Il évite tout contact avec les jambes maculées de pisse. Il est cependant obligé de lui tenir le bras car elle vacille. Il ne dissimule pas une grimace de dégoût tellement elle pue.
    
    « Ohh Monsieur, il faut que…
    
    - Quoi ?
    
    - Mais que je me change !
    
    - Or de question ! Je ne transigerai pas là-dessus. Assume !
    
    - Ohhh Mon Dieu, c’est pas possible !!!!
    
    - On a presque fini la punition. On en était à combien de coups ?
    
    - Ohh nonnnnnn. Je n’y arriverai pas. S’il vous plait !!!
    
    - Â ne recommence pas à faire des histoires ! Sois un peu courageuse ! Il reste huit malheureux coups de cravache.
    
    - Huit !!! Mais non !!!!
    
    - Tu t’es arrêtée de compter à quatre, Sophie. Allez ! Il reste quatre coups de cravache sur chaque téton !
    
    - Monsieurrrr…
    
    - Si tu te conduis convenablement, après tu auras une récompense. Tu m’entends ?
    
    - Ouiii. »
    
    La voix est aiguisée, excitée. Il lève la cravache :
    
    « Oui qui ?
    
    « Ouii Monsieur.
    
    - Alors au travail. »
    
    Il enchaînera très vite la flagellation, huit coups secs à la suite, quatre par tétons, dosés pour ne pas la faire souffrir. Elle s’est dandinée, puis tordue dans tous les sens, ses genoux ont ployé, elle a poussé des cris stridents, mais de toute évidence, ce n’était que comédie. L’intensité d’une exaltation. Maintenant, telle une Pietà, elle a les bras croisés ...
    ... devant ses seins à peine endoloris, les mains reposent sur les clavicules, les doigts fins s’arrêtent juste là où commence la délicatesse des épaules ; l’icône de la virginité dans sa culotte souillée par la pisse, geint, mais s’il y a plainte, c’est d’un manque de caresses. Elle s’interrompt juste pour renifler. Un filet morveux caresse l’ourlet boudeur de sa lèvre supérieur. Phil sort un kleenex de sa poche et gentiment lui torche le nez.
    
    « Tu vois Sophie, ce n’est pas si terrible que ça. Souffle. Là… Voilà. »
    
    L’adorable est trop subjuguée pour ne pas obtempérer et docilement, elle se laisse moucher.
    
    « Tu as un peu mal ? »
    
    D’un mouvement de tête, la douce acquiesce.
    
    « On va soigner ça. Tu vas voir. Va chercher le bol de glaçon.
    
    - Hein ?
    
    - Le bol de glaçon sur la table, à côté du vibromasseur. Va vite.
    
    - Vous…Vous…
    
    - Quoi ma chérie ?
    
    - Vous allez encore me frapper ?
    
    - Mais bien sûr que non. Que tu es stupide de penser ça. Au contraire, je vais soigner ce petit bobo et après tu auras une récompense. Je te l’ai promis et je tiens toujours mes promesses. Allez dépêche-toi.
    
    - Mais… »
    
    Il lui suffit de prendre un air sévère :
    
    « Sophie ! »
    
    Et l’adorable obtempère.
    
    Bien sûr qu’elle est un peu inquiète. Il y a la cravache, comme une menace, posée sur la table juste à côté du vibromasseur dont elle ignore la fonction ce qui renforce l’incertitude : qu’est-ce que l’homme va encore inventer. Il s’absente un moment. Revient. Ohh mon dieu, ...
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