Balade en ville (suite)
Datte: 22/12/2018,
Catégories:
fh,
sexshop,
cinéma,
Transexuels
Masturbation
intermast,
Oral
Humour
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... parut tomber. Je me marrais intérieurement. Mais il se reprit vite, une fois de plus, me tendant à nouveau la boîte :
— Mais vous, alors ? Vous ne tiendrez pas longtemps à ce rythme-là…
Je ne savais pas trop pourquoi il voulait aussi désespérément me refiler ses médocs ; il devait avoir une prime à chaque boîte deHappy Nights vendue…
— Bon, si ça vous fait plaisir, mettez ça avec ; et puis vous allez bien nous faire une petite réduction avec tout ça ?
— Dix pour cent, parce que vous m’avez bien fait marrer avec vos deux trans !
— Adjugé ! fis-je en lui tendant ma carte bancaire.
Je payai et, avant de sortir, priai Éloïse de ranger son DVD qu’elle détaillait avec obnubilation, puis Juliette de ne pas se promener avec un gode dans chaque main. Nous rangeâmes tout cela dans un petit sac en plastique et nous quittâmes enfin le sex-shop et son prodigieux vendeur.
Et on retomba dans la rue sur les deux sales gosses déchirés qui matèrent avec plus d’envie que jamais les seins de mes compagnes. L’un d’eux s’approcha en rotant. Je souris en demandant à Éloïse de lui montrer ce qu’elle avait entre les jambes. Celle-ci, heureuse, refit son sketch : elle souleva sa robe tandis que le gamin, incrédule, commençait d’ouvrir son pantalon en rugissant ; puis elle abaissa légèrement sa culotte, dévoilant le gros phallus dont elle s’était nantie.
Le gars s’arrêta net et le désir qu’on lisait dans son regard se changea instantanément en dépit teinté d’incrédulité. Il nous ...
... regarda nous éloigner après qu’Éloïse eut, sur mes conseils, remballé son appareil. J’entendis beugler derrière nous :
— Bah alors quoi ? Qu’est-ce tu fous ?
— Putain, mais t’as pas vu c’te meuf, c’qu’elle a entre les cuisses ? C’est un alien, c’est sûr !
— Quoi, qu’est-ce t’as vu ? Quand même pas une bite ?
— Bah si, putain ! Et un truc de fou !
— T’es trop défoncé, toi, faut qu’t’arrêtes !
Et nous fûmes bientôt hors de portée de leurs voix amusantes. Je dirigeai petit à petit nos pas vers l’endroit où j’avais laissé la voiture ; j’étais fourbu et je n’avais qu’une envie, c’était de rentrer me détendre à la maison. Chemin faisant, je conseillai à Éloïse de se dépourvoir de son pénis stupide et de redevenir la magnifique jeune femme qu’elle était auparavant. Elle tremblota puis m’annonça que ça y était et baissa sa culotte en m’informant que je pouvais vérifier.
C’est bien entendu à l’instant où elle tenait sa culotte descendue le long de ses cuisses que nous croisâmes deux policiers qui patrouillaient sans doute. Ils s’arrêtèrent en apercevant Éloïse, l’observèrent un instant tandis que je lui préconisai à voix basse de remonter son vêtement.
— Tout va bien, mademoiselle ? commença l’un d’eux.
— Oui, fit-elle en relevant sa culotte, je n’ai plus de pénis alors Gufti est content.
Les deux flics haussèrent les sourcils en me regardant d’un air inquiet.
— C’est ma femme, précisai-je, et, euh… elle a un peu picolé…
— Moi aussi je suis la femme de Gufti, ...