1. Confession d'une soirée trop arrosée ?


    Datte: 22/12/2018, Catégories: jeunes, inconnu, volupté, intermast, Auteur: Nem, Source: Revebebe

    ... tournant de sorte à avoir un œil sur l’assemblée dans mon dos.
    
    Je me souviens très précisément de cet instant précis, lorsque son regard s’est planté dans le mien tandis que sa main se posait le plus naturellement du monde sur mon entrejambe. J’eus le réflexe de regarder ce qu’il se passait, mais elle me rappela à l’ordre :
    
    — Ne faites pas de mouvements qui pourraient nous trahir, continuons de discuter…
    — …
    — Oui, ne dites rien, de toute façon personne ne vous verrait parler, il suffit que je meuble le silence, le temps que nous parvenions au terme de notre petite entrevue.
    
    Sa main menue serrait à présent plus ou moins fort mon sexe emprisonné et gonflé comme il se doit en pareille circonstance. Mon cœur tapait dans ma poitrine à en faire sauter les boutons de ma chemise. J’étais tétanisé par cet instant irréel. Et cette jeune femme qui ne cessait de me sourire, mon plaisir entre ses doigts.
    
    — C’est bien comme cela ? Je suis désolée, je ne peux aller plus vite. Les saccades me feraient remarquer tout de suite. Ne faites pas cette tête ; vous savez que je prends plaisir à vous torturer.
    
    Ses pressions sporadiques, ses discrets va-et-vient devenaient en effet intolérables. Je mourais d’envie qu’elle glisse sa main dans mon boxer et prenne fermement mon sexe brûlant. Je fis mine d’abaisser ma braguette, mais une petite tape suffit à m’empêcher d’aller au bout de mon geste.
    
    — Nous ne pouvons pas, vous vous doutez bien que vous pourriez m’éclabousser ou vous ...
    ... tacher de façon trop voyante. Vous avez été si gentil avec moi jusque là, laissez-moi faire comme j’en ai envie.
    
    C’était si gentiment demandé…
    
    — Ne croyez pas que je cherche à vous exciter encore plus ou à vous faire regretter que nous ne disposions pas de plus de temps, mais je suis très… émoustillée, disons. C’est un plaisir – elle comprima fermement le gland dans sa prison de tissus – de vous voir ainsi à ma merci… N’est-ce-pas que vous avez envie de moi ? Vous ne dites plus rien depuis quelques minutes.
    — Je suis bien trop concentré pour rester stoïque.
    
    Elle rit doucement mais me menaça :
    
    — Je commence à fatiguer. Concentrez-vous un peu ou nous n’arriverons à rien.
    
    Je la pris au mot et fermais les yeux. Plus rien n’exista que ces exquises sensations.
    
    — C’est bien… murmura-t-elle.
    
    Elle cala le renflement à la base de ma queue au creux de sa paume et tourna doucement en me soufflant des paroles obscènes. Je sentais au timbre de sa voix que son excitation n’était pas feinte.
    
    — C’est bien, c’est bien, répéta-t-elle doucement. Comme ça… Je vous sens grandir encore. Je me caresserai ce soir en pensant à vous.
    
    Elle reprit ses va-et-vient sur un rythme sensiblement plus soutenu : les palpitations naquirent dans mon ventre et, sans honte aucune, je jouis devant cette jeune femme, le visage marqué par les piques de plaisir. Elle ne retira sa main qu’à l’extrême fin de mes trépidations. Elle-même ne disait plus rien, jusqu’à ce que je rouvre mes yeux sur ...