Chocolat et Folies Bergères - Histoires de Sexe

Chocolat et Folies Bergères

... alors présenté mon gland à sa rosette déjà ouverte par les caresses de mes doigts et me suis introduit en elle tout doucement jusqu’au fond de son intestin. C’était très chaud, moins humide mais beaucoup plus serré que sa chatte. Un autre « feeling » pour moi. J’ai alors commencé de longs va-et-vient, regardant ma tige sortir sans gène de ce trou pour y pénétrer à nouveau aussitôt. Après plusieurs mouvements, elle me dit :

— Viens par terre, on sera mieux.

Je me suis alors laissé glisser de la chaise, l’entraînant avec moi sur le sol. Elle tombant directement à genoux, je suis resté fiché au fond de son trou sans vraiment perdre le rythme.

— Allez, mets-y toute la gomme maintenant ! Baise-moi bien fort !

N’écoutant que mon courage, je me suis mis à la pistonner de plus en plus fort, elle se lamentant aussi de plus en plus fort, au rythme de mes coups de bélier, mes couilles lui tapant sur les fesses à chaque fois. Entendant des bruits suspects, les autres Miss se sont rapprochées de nous en se délectant du spectacle offert. Miss Laval ajouta même :

— Oh, le salaud, il la prend par l’arrière sans nous avoir invitées au spectacle ! Attends, ma petite vicieuse de Française, tu vas avoir à décoller car moi, je sais ce que c’est qu’un double orgasme lorsqu’on se fait caresser le piton en même temps qu’on a une bonne queue qui nous laboure le cul…

J’ai alors senti la main de Miss Laval d’introduire entre les lèvres de Miss Paris et commencer à lui masser le clito ...

... avec force et énergie.

— Oh oui, Miss Laval, c’est tellement bon ce que vous me faites ! de dire alors Miss Paris.
— Mais ce n’est pas terminé, ma chère. J’ai d’autres trucs en main. Que penseriez-vous d’un doigt dans la chatte, titillant votre point G ? Sauriez-vous me résister ?
— Oui, Miss Laval, tout ce que vous voulez pour me faire décoller… Ne vous gênez pas, allez-y !

Miss Laval a alors introduit son majeur directement au fond de la chatte de Miss Paris, atteignant, comme promis, le point G. Ne repliant pas les autres doigts, elle s’est trouvée à me toucher les couilles à chaque fois que je m’enfonçais dans l’antre de Miss Paris, me prodiguant ainsi un puissant massage.

— Et toi, mon beau Alex, je vais te presser les couilles tellement fort que tu n’auras pas d’autre choix que de remplir son gros cul de ton foutre bien juteux et bien chaud…

Elle me pressait maintenant les couilles tout juste sous le seuil de la douleur, appelant ainsi ces dernières à libérer leur trésor

— Oui, je viens, je viens, je viens… Oh, que c’est bon ! Viens dans mon cul, Alex, viens que je décolle en sentant la chaleur de ton foutre se répandre en moi. Ouiiiii ! Ah que c’est bon !…

Ne pouvant résister plus longtemps, je lui ai envoyé tout ce que j’avais au fond du corps, la faisant gueuler encore plus fort son plaisir et, complètement exténué, je me suis affalé sur elle, écrasant son corps sous le mien. Elle s’est alors retournée, me faisant glisser sur son côté. Nous nous ...