1. Descente au Paradis (6)


    Datte: 19/12/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Phoroeckx, Source: Xstory

    ... Passées quelques dizaines de secondes, Marcel se relève, embrasse de nouveau la belle, et tire sur ses genoux : Suzanne est projetée en arrière, à plat dos sur le matelas, les fesses au bord du vide et les jambes relevées, les seins ballotant à cause du choc. Les cuisses écartées, elle est complètement offerte à Marcel, dont le sourire cynique déforme le visage. Suzanne ressent les mêmes émotions qu’au cours de sa première fois : elle est à la fois terrifiée, honteuse et excitée, cette dernière émotion l’emportant largement sur les deux autres aujourd’hui. Marcel aussi, est dans tous ses états : il tremble, mais d’impatience. Enfin ! Le moment qu’il a tant attendu, qu’il prépare activement depuis près d’une semaine. Enfin, la voilà sous son contrôle.
    
    Le vieil homme pose son gland sale sur la fleur de Suzanne, avant de le frotter de bas en haut, préparant le terrain en écartant ses pétales. La belle quadragénaire couine.
    
    — Non... Marcel, attends !
    
    Le vieil homme s’arrête : il n’est pas idiot, et ne tient pas à se faire avoir pour viol. S’il a envie plus que tout de prendre la belle, il a surtout envie de la souiller jusqu’à ce qu’elle en redemande : si elle refuse, la partie est finie. C’est pour cela qu’il doit être prudent. Il déglutit, la bite à la main et posée sur le con de la belle, faisant un effort surhumain pour ne pas pousser les hanches et la pénétrer de tout son long, elle, cette femme fatale qu’il rêve de baiser depuis près de vingt-cinq ans, voire plus ...
    ... si l’on compte la fin de son adolescence.
    
    Suzanne se redresse, et l’adrénaline monte dans le ventre bedonnant de Marcel. Il se prépare déjà à riposter, mais se stoppe à la vue de Suzanne, en larme. La belle est redressée, et se retourne : elle est à présent à quatre pattes, les genoux au bord du lit, et se cambre du mieux qu’elle peut, en écartant légèrement les cuisses, les seins frôlant presque les draps. Les larmes coulent de ses yeux sur le lit, sa foufoune en feu dégouline de mouille : elle n’attend qu’une seule chose, mais ne parvient pas à l’accepter. Plutôt que d’en souffrir, Suzanne préfère ne pas voir son bourreau. Elle sait qu’elle est dans le déni. Marcel, de son côté, n’en croit pas ses yeux : il est bouche bée. Lui qui s’attendait à un refus, le voilà servi ! Le cul de Suzanne est magnifique : ses fesses sont rebondies, sa vulve est parfaite, et ses cuisses à tomber. Le vieil homme passe ses mains calleuses sur sa croupe, délicatement, et repose, de nouveau, son gland sur sa fleur.
    
    C’est bon, il va pouvoir la prendre, enfin...
    
    Suzanne souffle fort, elle s’est mordu la lèvre lorsque le vieil homme a de nouveau posé sa queue sur sa vulve. Elle n’attend que son sort. Marcel perd le contrôle, et sa vraie nature de prédateur ressort enfin. Il se sent libéré de ses carcans, de ses obligations d’être et des manières qu’il a dû construire pour parvenir à ce résultat. Sans son masque, ses intentions ressortent.
    
    — J’ai eu peur, p’tite. J’ai cru que t’allais ...
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