1. Perte de ma virginité


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, humilié(e), vengeance, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, init, confession, prememois, inithf, Auteur: Amateur de mots et de..., Source: Revebebe

    ... bien de quoi je veux parler et surtout à quel horrible secret, je fais allusion !
    — Enfin, cela suffit Patrick ! Vous êtes ridicule. Je ne comprends pas un mot à vos propos.
    
    Tout en parlant, je m’étais avancé vers la porte et lui barrai toute possibilité de fuite. Le sentiment d’être acculée redoubla visiblement sa colère qui explosait dans les éclairs que ses yeux me lançaient.
    
    — Vous êtes vraiment un insupportable petit…
    — Petit con de puceau ? C’est ce que vous voulez me redire ?
    
    Marie-Laure tenta de m’écarter pour atteindre la porte de métal. Je la repoussai galamment, mais fermement.
    
    Alors que je me remémore encore aujourd’hui cet épisode, je reste estomaqué par l’aplomb et l’audace dont je fis preuve. Je n’étais plus moi-même : froid, déterminé, tout tendu vers cette lutte dont il fallait que je sorte vainqueur pour laver les insultes et l’affront de cette vieille bique libidineuse.
    
    — Petit con de puceau ! Eh bien, oui ! Tu ne mérites pas d’autre épithète. Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Pour qui te prends-tu ?
    — Pour le fils d’une cocue ! Vous voyez ce que je veux dire maintenant.
    — Comment cela ? Tais-toi ! Tu es ignoble !
    — Vous ne l’êtes pas moins, vous ne trouvez pas ? Être la maîtresse du mari de sa meilleure amie est une chose, mais faire l’amour avec lui sous le toit familial alors qu’elle vous offre avec confiance son hospitalité, vous appelez cela comment vous ?
    — Mais, de quoi parles-tu, tu es complètement fou !
    
    Accouer ...
    ... ou servir, les termes de vénerie, furent les premiers qui me vinrent à l’esprit en sentant que ma proie se savait acculée. Avec une maîtrise qui ne manque de me surprendre même aujourd’hui, je sentis que j’avais pris l’ascendant et qu’il était temps de sonner l’hallali.
    
    — Chère Marie-Laure, cessez de prendre avec moi vos airs de pimbêche hautaine, vous êtes démasquée et vous savez très bien de quoi je veux parler. Si vous voulez que j’aille plus loin…
    — Tais-toi, c’est odieux !
    — Odieux, comme vous y allez ! Vous ne pensez pas que vos galipettes avec mon père sont de même nature ?
    — Tais-toi…
    
    Son visage était métamorphosé. J’y lisais à livre ouvert un mélange de peur, de honte, et de colère. Seule la méchanceté semblait, par intérêt, s’être évaporée. Sûr de ma victoire, je continuai avec l’air suffisant d’un petit coq.
    
    — Non, Marie-Laure, c’est vous qui pour une fois allez vous taire. Vos grands airs, vos leçons de morale, vos jugements sans nuances, vos sarcasmes et votre hypocrisie n’ont plus place. Vous êtes confondue. Les vieilles maisons comme la nôtre sont encore équipées de serrures dont l’avantage est qu’elles offrent encore de belles opportunités aux jeunes puceaux un peu trop curieux. La Laurette, comme dit si affectueusement ma cocue de mère, la Laurette aperçue avant-hier n’avait rien à voir avec la dame catéchiste « tout-à-fait-comme-il-faut » que vous prétendez être. Oh, je sais, avec Balzac, que« ce crime ne pouvait être surpassé que par le crime ...
«12...141516...21»