1. TABLE DE SAPIN 14


    Datte: 18/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... fus tirer sans aménagement de ma chaise par ma femme, m‘amenant jusqu‘à la piste de danse improvisée pour danser un slow avec elle. Je me suis rajusté tant bien que mal.
    
    Là je l’ai enlacé étroitement et connus l’infini plaisir de poser ma verge bandée contre son pubis recouvert du tissu de sa robe en dentelle blanche. Très vite les frottements provoqués par le mouvement rythmé de nos corps ont augmenté encore mon excitation. Elle s’est abandonnée toute entière contre moi se branlant discrètement, comme elle le faisait souvent en pareil cas. Avec des halètements de volupté, que couvrait la musique. J’ai pressé à deux mains les rondeurs de ses fesses, indifférent au regard qui nous entouraient. J’ai sentis que je n’allais pas tarder à jouir. Et fis mine de m’écarter un peu. Mais ma femme m’a attiré plus étroitement encore contre elle, et gémit à mon oreille.
    
    - Ah je vais jouir ! Je vais jouir…
    
    En effet je l’ai senti soudain se contracter, le corps frémissant. Elle m’a mordu sauvagement l’épaule pour ne pas crier. Cette douleur subite, jointe au plaisir de partager cet orgasme quasi public, me mis devant la porte de la jouissance. J’ai dégorgé dans mon slip en serrant les dents. Indifférent aux conséquences qui allaient suivre. À la fin du morceau, nous nous nous sommes séparés comme si rien ne s’était passé avec un petit baiser. Alors qu‘elle est restée sur la piste de danse. Moi je suis allé jusqu‘à la salle de bain, me nettoyer.
    
    La nuit tombée il était venu de ...
    ... faire notre habituel cache. Pour ce faire la mariée a proposé de réaliser le tirage au sort pour savoir qui serait les deux chercheurs. Le hasard a fait que je me suis retrouvé avec Valérie. J’ai soupçonné ma belle-sœur d’avoir arrangé le
    
    Coup ! Au signal tous les autres convives sans exception, ont quitté le jardin, nous laissons seul.
    
    - Touche-moi, encore… vite, m’a soufflé Valérie. Je ne peux plus tenir. Attirant ma main à elle.
    
    - Touche-moi le cul, murmura-t-elle en remuant le bassin.
    
    Constatant que la pénombre nous protégé des regards indiscrets, je n’ai pas pu résister à la tentation. Et je me suis laissé guider sous sa jupe. Je lui ai pincé son fessier, alors qu’elle se dandinait encore plus. Elle avait autant les fesses dures et musclées, que sa peau était douce et chaude. Je les ai pétries, à pleines mains. Les ai caressées, brutalisées. Je l’ai retourné, pour qu’elle prenne appui sur la table. Je me suis placé derrière elle. J’ai plongé mon nez dans l’entre fesse et j’ai léché sans retenue son vagin. Reniflant ses odeurs de pisse et de sueur. J’ai aspiré les grandes lèvres molles. Rentrant le bout de ma langue dans le vagin spongieux. La mouille coulait en abondance. J’ai séparé la naissance des fesses avec mes pouces et j’ai goûté l’anus à la saveur amère et fauve. Bien que tout ça soit bon il fallait que je ne m’attarde pas trop. Je me suis redressé pour me placer derrière elle. Avec autoritaire je l’ai positionné à bonne hauteur pour moi, avant d’y ...