1. TABLE DE SAPIN 14


    Datte: 18/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... que ce te fasse un dessin ? Me fit-elle.
    
    - Non ! Les mots suffisent. Vas-y, je t’écoute ?
    
    - Ici ?
    
    - Pourquoi pas. Personne ne s’intéresse à nous, comme tu peux le voir.
    
    D’un coup d’œil elle a constaté que j’avais raison, et elle a approché sa bouche de mon oreille et m’a lâché :
    
    - Elle baise avec toi.
    
    - Et alors ?
    
    - Alors rien.
    
    J’étais certain qu’à cet instant sa petite peluche sous sa culotte commençait à transpirer. Mais j’en suis resté là. Coupant court à la discussion avant de me lever et d’aller rejoindre ma femme sur la piste de danse.
    
    Peu à peu les heures se sont égrenées, et la lumière naturelle s’est mise à diminuer, marquant le début de la soirée. Alors que je dînais à côté de ma femme, j’ai senti une main qui ne pouvait appartenir qu’à Valérie, se poser sur mon genou. Me caressant ma cuisse à travers le pantalon. Je me suis laissé faire, pour ne pas alerter ma femme. Mais aussi parce que cela n‘était pas pour me déplaire. S’enhardissant, Valérie a remonté plus haut sa main, prenant entre ses doigts ma queue qui saillait de ma braguette. Tout à coup, j’ai fait un bond sur mon siège. Elle venait de pincer ma verge. Il m’en fallut pas plus pour me mettre dans un état second. À ne plus savoir où je me trouvais. Une envie de me faire Valérie me submergea. Mais bien plus que ça, je me croyais même amoureux d’elle.
    
    Sagement et patiemment, elle a attendu que ma femme quitte la table, et profitant de la semi-obscurité pour attirer ma main sur ...
    ... ses cuisses. Sentant sous mes doigts sa peau nue, lisse et tiède.
    
    - Caresse-moi, me chuchota-t-elle à l’oreille.
    
    Ne pouvant résister à la tentation, je l’ai remonté jusqu’à la fourche. Mon trouble s’est accrut lorsque j’ai pris contact avec la toison. Elle avait les poils rêches autour d’une vulve béante et mouillée. J’ai voulu retirer ma main. Mais elle s’en est emparée m’obligeant à la replacer entre ses cuisses.
    
    Alors à l’aide de mon index, j’ai fouillé méticuleusement les pétales crénelés de la double excroissance de chair qui saillait au centre de la vulve. Sa respiration s’était faite plus forte.
    
    D’un coup de poignet, j’ai fait pénétrer mon index tendu entre les petites lèvres, à la recherche de son pustule. Que j’ai pressé entre deux doigts. Elle a tressaillit et a soupiré avec force. Heureusement pour nous la musique couvrait ses plaintes. Sa mouille a suinté sur ma main, finissant sa dégoulinade sur le siège. La main de Valérie a tâté pour la seconde fois ma braguette. Mais là, elle enfouit sa main avec l’intention de me la mettre à l’air. J’ai grimacé car dans sa hâte, elle me la griffer une fois de plus avec ses ongles. À contre mesure je lui ai enfoncé un deuxième doigt dans la chatte. Autour de nous les convives occupés à autre chose ne songeaient pas à s’occuper de nous.
    
    Elle m’a serré la verge entre le pouce et l’index et m‘a branlé. Presque aussitôt, elle a suffoqué, et a joui sous mon branlage. Pas le temps de succomber sous sa caresse que je ...