1. TABLE DE SAPIN 14


    Datte: 18/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Ce samedi de fin de juillet de l’année 95 était festif pour notre famille. Le frère de ma femme se marié. Pour l’occasion nous étions la famille proche et quelques amis assis dans un coin du jardin autour de la table de sapin. Cette fameuse table en sapin que j’ai adapté à mes fantaisies sexuelles. Que nous avions la veille sorti de la cuisine pour l’accoupler à une autre, une à tréteau pour permettre à la vingtaine de convives d’être confortablement installé.
    
    Le champagne que je buvais était délicieux. Au point de me saisir de la bouteille pour m’en servir une deuxième coupe. Les bulles frémissaient le long de mon œsophage et le plaisir qu’elles m’ont procuré se superposé à celui de la vue des cuisses de ma voisine, au prénom de Valérie et copine de la mariée. Dont je n’ai pas arrêté de poser mon regard.
    
    La mariée, placée de l’autre côté de la table semblée heureuse. Comme elle l’était la veille au soir. Pendant que je la chevauchais à grands coups de reins. Mon cadeau avant l’heure ! À sa droite se tenait la mère de son époux. La fameuse belle-mère qui était aussi la mienne. Collaboratrice de mes débauches libertines. Et cela depuis près de sept ans maintenant. Et je ne pense pas que cela va cesser de sitôt. Tant j‘aime lui faire subir les pires dépravations. Une manière comme une autre de me venger des offenses de son mari. À son côté Patricia, ma belle-sœur. Une bonne partenaire de cul occasionnelle. Dont j’ai partagé d’excellents moments de jouissance. C’était ...
    ... curieux, ce sentiment d’excitation que j’éprouvais à cet instant alors que la situation du moment de s’apprêter pas. Je n’ai pas pu précisément, déterminer pourquoi ses pensées. J’ai mis ça sur le compte de l’ennui.
    
    - Il serait possible que tu me serves une coupe ? Fit la voix de Valérie.
    
    - Oh excuse-moi.
    
    - Tu étais pensif ?
    
    - Pas du tout ! J’étais concentré sur ceux qu’il se disait.
    
    Je me suis saisi de la bouteille et j’ai empli son verre. Déjà dans la salle des mariages de la mairie, elle n’a pas cessé de me dévisager de ses yeux bruns, fixes et luisants. J’ai crus y discerner une expression d’ironie avide et perverse. J’étais un peu près sûr qu’elle s’était arrangé avec sa copine (la mariée) pour être placée à mon côté. C’est alors que j’ai profité de l’absence de ma femme pour commencer le jeu de la séduction. Je l’ai dans un premier temps félicité pour sa tenue. Sur sa ligne de jeune femme. Alors qu’elle était mère de deux enfants. Peu à peu, le champagne eut sur elle un effet euphorique. Au point qu’elle se permettait de parler de tout. Même des sujets les plus intimes. Heureusement pour nous la musique couvrait ses paroles.
    
    - Ça arrive souvent à Maryline de me parler de toi ! Me confia-t-elle.
    
    - À bon ! De bien j’espère !
    
    - Que des éloges. Sans rien émettre. Tout ! Je te dis elle me dit tout. Elle m’a même avoué, qu’elle et toi… enfin !
    
    Son abandon me fait sourire. Je ne pu m’empêcher de la faire encore un peu parler.
    
    - Précise !
    
    - Il faut ...
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