1. Le mariage


    Datte: 16/12/2018, Catégories: f, fh, rousseurs, extracon, médical, religion, uniforme, caférestau, fête, Oral pénétratio, délire, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... des fêtes de la petite commune. Qui permit aux connaissances, aux voisins de venir faire la bise et féliciter les jeunes mariés.
    
    Deux voisins âgés regardaient les jeunes gens s’amuser et rire.
    
    — Tu sais pourquoi j’aime mieux les enterrements que les mariages ?
    — Non !
    — Ben, à un enterrement, t’es sûr de le voir mettre dans le trou !
    
    Et les deux vieux de rire à gorge déployée.
    
    Les petits gâteaux, petits cakes, mini pizzas ou quiches faisaient leur office tandis que les apéritifs coulaient à flots. Le parrain tenait déjà une bonne cuite et entonnait des chansons paillardes.
    
    Jeunes mariés en tête, toute la troupe se mit en branle vers l’auberge du patelin,La truite qui chante, dont la réputation n’est plus à faire.
    
    Arrivée au restaurant, la jeune femme glissa un mot à l’oreille de son mari. Et partit souriante vers les toilettes.
    
    À peine entrée dans le local, elle se jeta dans les bras de Pierre-Henry, le témoin de Nicolas.
    
    Marie-Cécile n’avait rencontré Pierre-Henry que la veille. Ce souriant jeune homme, meilleur ami, presque un frère pour Nicolas, avait fait le voyage depuis San Francisco où il étudiait, uniquement pour être le témoin au mariage.
    
    Et depuis le soir précédent, ils n’arrêtaient pas de se dévorer des yeux. Elle tenta bien, la nuit précédente, d’exorciser le phénomène en essayant de penser à autre chose, en vain. Plus elle tentait de chasser Pierre-Henry de son esprit, plus elle y pensait, à tel point qu’elle dut se masturber ...
    ... frénétiquement pour se calmer.
    
    Un coup de foudre réciproque, une attirance physique incontrôlable. Cet après-midi, en tendant le plateau contenant les alliances, sa main tremblait, il n’avait d’yeux que pour elle.
    
    Et maintenant, dans les toilettes du restaurant, ils pouvaient s’embrasser comme bon leur semblait. Cela tenait plus du combat animal que d’une étreinte civilisée.
    
    — Viens, lui dit-il. Il la prit par la main et la fit entrer dans les toilettes pour handicapés. Elles sont plus vastes, nous y serons plus à l’aise.
    
    À peine la porte refermée, ils se jetèrent l’un sur l’autre, reprenant leur ouvrage là où ils l’avaient laissé.
    
    Marie-Cécile le fit asseoir sur la cuvette, s’agenouilla entre ses jambes comme pour prier, et baissa la fermeture de son pantalon.
    
    Elle en sortit un membre de fort belle facture, ma foi, en pleine possession de ses moyens. La jeune femme entreprit de le sucer comme une friandise longtemps désirée.
    
    — Ah, gémit-il, je ne vais pas pouvoir me contenir, arrête !
    
    Ses dévotions interrompues, la jeune mariée se remit debout, lui tourna le dos, et troussa sa robe jusqu’à la taille.
    
    Pierre-Henry fit plusieurs découvertes. Marie-Cécile possédait le plus joli postérieur qu’il eût jamais vu depuis fort longtemps, constellé de taches de rousseur, et cette jeune femme était la prévoyance même : elle ne portait pas de sous-vêtements.
    
    En outre, la situation semblait l’exciter énormément, son sexe ruisselait de mouille. Les lèvres intimes ...
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