1. Le mariage


    Datte: 16/12/2018, Catégories: f, fh, rousseurs, extracon, médical, religion, uniforme, caférestau, fête, Oral pénétratio, délire, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... s’entrouvraient seules, comme mues d’une vie propre.
    
    Elle vint poser l’entrée de sa grotte intime sur le gland turgescent, et sans hésitation aucune, s’empala sur le membre en poussant un soupir d’aise et un gémissement de fort bon aloi.
    
    — Ah oui, que c’est bon !
    
    Ne voulant pas rester les mains inoccupées, Pierre-Henry fit descendre la glissière du bustier et abaissa le vêtement jusqu’au nombril.
    
    Il malaxait les seins ainsi offerts tout en embrassant, léchant, mordillant les épaules de sa compagne. Il lui massait les tétons, érigés, caresse que la jeune femme semblait apprécier fortement.
    
    Celle-ci offrait un spectacle particulièrement émouvant et obscène, les seins à l’air, et la jupe retroussée laissant voir ses cuisses et sa jolie chatte à peine marquée d’une fourrure sombre, et le pénis qui s’agitait en elle.
    
    Ils gémissaient tous deux, ahanaient, faisant un très beau duo érotique.
    
    ****
    
    L’oncle Ernest, tonton de la mariée, relevait d’une violente gastro-entérite dont il souffrait encore de quelques séquelles spectaculaires. Justement, il laissa sa femme, le curé et madame le Maire pour se précipiter vers les toilettes.
    
    Il ouvrit la première porte qui lui tombait sous la main, sans se préoccuper des gémissements qui émanaient du local.
    
    — NomdeDieudeBordeldeMerdedeBordelàCul !
    
    Les amants fautifs, tout à leur excitation, avaient oublié de fermer la porte.
    
    Le hurlement du tonton résonna dans tout le restaurant, et même une bonne partie du ...
    ... village.
    
    Mais que dire de ceux de Marie-Cécile et de Pierre-Henry ?
    
    Celui de la jeune mariée s’apparenta à un grand « Hhhhhhhhiiiiii !!! ».
    
    Une suite de H aspirés telle une pompe de piscine tournant à vide et un crissement de pneus.
    
    Elle regardait son oncle comme s’il était l’incarnation du Grand Satan.
    
    Pierre-Henry, quant à lui, poussait des « HanomdeDieumaqueue ! ».
    
    Évidemment, toute la noce rappliqua en un seul troupeau compact, avec en tête monsieur le Curé et Nicolas. Même le patron du restaurant, les serveurs et serveuses vinrent aux nouvelles. Un événement comme celui-ci se raconterait encore dans quelques dizaines d’années, et ils pourraient dire à leurs petits enfants : j’y étais.
    
    — Marie-Cécile, que fais-tu ?
    — Ben ça se voit, non ? répliqua Tonton Ernest, énervé, son bedon pointant agressif vers les fautifs.
    — Couic, approuva la mariée.
    
    Monsieur le Curé se signait en continu de la main droite ; il venait d’inventer le mouvement perpétuel. Il n’en négligeait pas pour autant de reluquer les seins et la chatte de Marie-Cécile tout en se tripotant le goupillon de la main gauche.
    
    La maman du marié fit un malaise.
    
    — Vous pourriez peut-être vous arrêter, non ? tonna le beau-père.
    — Couic.
    — Je voudrais bien, mais je peux pas, gémit Pierre-Henry.
    — Couic.
    — Elle n’arrête pas de dire cela. Et elle est tétanisée, je ne peux même pas retirer mes mains de ses dessous de bras.
    
    Et pour prouver ses dires, il remua les mains sous les seins ...
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