1. La statuette


    Datte: 16/12/2018, Catégories: fh, jeunes, religion, contrainte, dispute, intermast, 69, fgode, hdanus, hgode, aventure, fantastiqu, Auteur: Lise-Elise, Source: Revebebe

    ... les sens en éveil, prêt à parer à la moindre attaque. Thyris gémissait doucement, et faisait légèrement onduler ses hanches. Rassuré, Fyrag s’autorisa à se détendre un peu.
    
    Il décida de prendre son temps. Abandonnant le petit nid chaud, il fit glisser la pointe sombre sur le ventre de la jeune femme. Il traça des cercles, des spirales. S’attarda longuement sur le nombril, fasciné par le spectacle de ce ventre qui se contractait de plus en plus vite, comme si l’ombilic avait été un autre sexe particulièrement vorace.
    
    D’un coup de rein, il s’assit sur la table. Il prit garde à ne pas même effleurer la vestale. Il promena la tige de pierre sur les seins, dessinant des boucles de plus en plus serrées. Les tétons de Thyris étaient dressés comme jamais, et les globes eux-mêmes semblaient durcis sous l’excitation. Soudain, il rompit le contact. La jeune femme eut un gémissement de désespoir, et tendit aussitôt les mains. Fyrag, se raidissant, éloigna encore l’objet. Il n’était pourtant pas tout à fait hors d’atteinte. Thyris l’effleura du bout des doigts, et son visage s’illumina. Avec prudence, le jeune homme descendit lentement le bras. Les mains de la vestale parcouraient fiévreusement la surface lisse, avec force et légèreté. Elle se mit à pousser de petits jappements de plaisir.
    
    Insidieusement, Fyrag conduisit l’olisbos un petit peu plus loin. Quand il fut au-dessus de la bouche de Thyris, il n’eut plus un geste à faire. Avec reconnaissance, la prêtresse happa le pieu ...
    ... sombre et commença à l’astiquer. Fyrag dut se raidir : la pression conjuguée des mains qui massaient la pierre et de la succion qu’exerçait la jeune femme mit ses muscles à la torture. Il la laissa pourtant faire. Elle semblait apaisée.
    
    Il dégagea l’olisbos de la bouche vorace, et, effleurant le corps de Thyris de la pointe humide, descendit jusqu’au bas de son ventre. Thyris fit tout son possible pour se maîtriser. Elle se contrôla au-delà du possible pour ne pas brusquement lancer les hanches en avant. Elle savait que c’était inutile, et cela, seulement, la retenait.
    
    Fyrag mit fin à son attente. La pointe sombre glissa sans la moindre résistance. Il se retrouva, surpris, obliger de freiner le geste qu’il avait voulu vigoureux pour rompre à nouveau la fine barrière. Mais l’excitation de Thyris avait rendu toute fermeté inutile. Il ne voulait toujours pas la toucher, et avait pour cela fort à faire. Les hanches de la jeune femme s’agitaient en mouvements désordonnés, et chaque impulsion de l’olisbos la rendait plus folle encore. Soudain, sans que, trop concentré sur l’action, il ne puisse y parer, elle accrocha le sexe du garçon.
    
    Fyrag se figea. La seule main de Thyris lui procurait des sensations extraordinaires. Profitant de l’avantage, Thyris se faufila entre ses jambes, prenant bien soin de serrer les cuisses pour que l’objet ne s’échappe pas. Le jeune homme n’eut d’autre solution que de se pencher pour ne pas laisser échapper l’olisbos. Il avait maintenant une ...