Le mystère de l'Y - 1 - Histoires de Sexe

Le mystère de l'Y - 1

... visage.

— Puis-je te conseiller, tu as l’air indécise ?
— Il me semble que le café se trouve dans la cuisine mon cher ami, lui répondit elle, amusée.

Il fit glisser à terre le châle jaune de sur ses épaules et lui dit doucement à l’oreille :

— Non, décidément je ne crois pas que l’heure soit au camouflage de ces courbes ! J’aurais plutôt tendance à vouloir les dévoiler !

Elle referma ses bras sur elle-même, croisant les mains sur ses épaules. Puis un long silence s’installa. Leurs yeux se dévorèrent d’intensité dans ce jeu de miroir. Il s’approcha d’elle et posa ses mains sur les siennes. Ensuite elles glissèrent jusqu’à sa taille. Il la serra et l’attira à lui, pour venir la coller contre lui. Il accentua la pression pour lui faire sentir l’effet que lui procurait cette situation. Au contact de son membre, elle décrocha une main pour venir la poser sur ses fesses et inciter sa pression. Elle ouvrit la bouche lorsque ses baisers commencèrent à couler dans son cou, avec force de désir et sensualité.

— Je parlais de dévoiler les mystères, lui dit-il en prenant en main l’ourlet de sa robe au-dessus des genoux.

Il la remonta doucement en continuant leur observation mutuelle dans le miroir. Elle se mordit la lèvre inférieure et passa la main derrière sa nuque. Les cuisses étaient découvertes, et un petit triangle de tissu de dentelle bleue marqué d’un « Y » apparut lorsqu’il remonta plus haut. Un « Y »…

Il resta à la contempler comme cela. Sa gourmandise fit ...

... glisser sa main sur ce fameux « Y »…

Mais elle se décrocha, et s’éloigna de lui en disant.

— Cher ami, l’alphabet commence à la lettre « A ».
— Alors ouvrez-moi votre dictionnaire, lui dis-je en prenant en main le premier tiroir de sa commode.
— Il me semble que vous avez trouvé ce que vous cherchiez, dit-elle en refermant d’une pression de ses fesses le tiroir où attendait bien sagement sa lingerie la plus intime.

Sa main resta coincée dans le tiroir. Il la retira en tenant entre deux de ses doigts un fin morceau de tissu. Lorsqu’elle sortit, sa main arborait un string de satin rouge. Il lui montra son trophée d’un air coquin et malicieux.

— J’ai gagné celui-ci, lui dit-il en le portant à ses lèvres.
— Rends-le moi imbécile, lui dit elle en le lui chipant.

Il s’empara d’elle et leurs lèvres se retrouvèrent pour un baiser fougueux.

Adossée à la commode il se pressa de nouveau à elle et passa sa main sous sa robe, à la recherche du « Y ». Sa main vint se poser sur son mont de vénus qu’il commença à presser tout en continuant ses baisers qui les enflammaient tous deux de plus en plus.

Elle ne le repoussait plus, au contraire, elle s’appuyait à lui et pressait sa main contre son intimité en se collant de plus près à lui. Sa main prit la forme de son sexe au travers du tissu et ses caresses se firent un peu plus gourmandes.

Au bout de quelques minutes de ces baisers et ces caresses qui les faisaient plonger dans une torpeur érotique il sentit son tissu ...