1. Monstre ou déesse ? (2)


    Datte: 14/12/2018, Catégories: Divers, Auteur: Persea, Source: Xstory

    ... mon père n’arriva plus à pomper une seule goutte de lait, il se retira et s’affala de tout son poids sur moi.
    
    — Putain Morgane, j’ai jamais connu quelque chose de pareil… C’est complètement dingue ce qui nous est arrivé là ! Je sais même pas si je dois te demander pardon, m’excuser de… t’avoir quasiment violée alors que je suis ton père… je sais même pas si je peux encore te regarder dans les yeux et si je pourrai me regarder en face après avoir fait un truc pareil…
    
    — Tu peux me regarder dans les yeux papa. J’en avais envie autant que toi et j’en aurai encore envie crois-moi. Et j’ai besoin qu’un homme me soulage de mon lait quand j’en ai trop et malheureusement… je crois que ça va être souvent…
    
    — Je te téterai autant que tu le veux ma chérie. J’aurais jamais cru pouvoir faire un truc pareil et en fait j’ai adoré. En plus ça m’a excité à un point que tu ne peux même pas imaginer. C’est trop dingue ! Tu vas dormir avec moi cette nuit ma chérie n’est-ce pas… je t’en prie dors avec moi…
    
    Bien sûr que j’allais dormir avec cet homme. D’autant plus que j’étais certaine d’avoir encore besoin d’être soulagée dans la nuit, c’était sûr et certain…
    
    Or avant de dormir, mon père se montra d’une tendresse incroyable. Il m’embrassa tout le corps, amoureusement et un peu comme si j’avais été sa femme. Pas un centimètre de peau n’échappa à ses baisers et il me téta le lait qui engorgeait une fois de plus mes seins pour me permettre de dormir tranquillement. Cette attention ...
    ... n’empêcha pas que je dus le réveiller deux fois dans la nuit pour qu’il me soulage. La deuxième fois, il en profita pour s’enfoncer en moi et me remplir encore de sa semence pendant qu’il pompait avidement mes mamelles. Partager la couche de mon père et dormir dans son odeur d’homme m’excitaient beaucoup. Il aurait pu me remplir autant de fois qu’il le voulait, je l’aurais accueilli avec bonheur. Mon père avait un superbe corps d’homme, chaud et rassurant que je me plaisais à caresser pendant qu’il se rendormait à mes côtés. Je caressais son sexe doux et tiède, encore tout humide de sperme. Ses couilles prenaient toute la paume de ma main, chaudes, élastiques et bien gonflées. Les couilles de mon père qui dorénavant se déverseraient dans mon ventre… Ce corps puissant qui pénètrerait le mien quand je le voudrais… Ces lèvres avides que je nourrirais de mon lait…
    
    Il faisait noir mais j’imaginais mon corps fin et tout en courbes féminines contre celui de cet homme, dur, puissant et solide, si viril et si masculin… Et j’aimais cette image plus que tout. Je serais femme pour des hommes comme lui et j’obligerais ces hommes à me satisfaire en tant que femme…
    
    Je sombrai enfin dans le sommeil.
    
    Le lendemain quand je me réveillai, mon père n’était plus là. Il quittait la maison à 7 heures du matin et ne rentrerait que vers 17h30 ou 18h.
    
    Je trouvai un mot sur la table de la cuisine : ‘Ma chérie, je ne veux pas que tu continues à t’habiller avec les affaires de ta mère. Je te laisse ...