1. Monstre ou déesse ? (2)


    Datte: 14/12/2018, Catégories: Divers, Auteur: Persea, Source: Xstory

    ... fesses. Je sentais son sexe épais et dur contre mes cuisses et je ressentis à nouveau cette espèce de vide dans mon ventre et dans mes reins. Mes seins me faisaient cruellement souffrir. Peu importe que ce soit mon père ou n’importe qui, il fallait absolument me soulager…
    
    Je dégrafai mon corsage et écartai mon soutien-gorge qui était déjà trempé de lait…. Je pinçai mes mamelons et appuyai sur la tête de mon père….
    
    — Tu veux… que je… boive ton lait ? demanda-t-il estomaqué.
    
    Je n’en pouvais plus et pressai sa tête de toutes mes forces contre mes mamelles trop douloureuses.
    
    Mon père téta juste le bout d’un mamelon, timidement et maladroitement. Mais il avala quand même quelques gouttes. Et puis brusquement, il se déchaîna complètement et pompa mes seins comme un malade, aspirant et avalant de grosses lampées de lait.
    
    — Oh papa… c’est trop bon comme tu fais là… fis-je en gémissant.
    
    Le creux que je sentais dans tout le ventre me dévorait de l’intérieur. La bouche de mon père, chaude et avide pendant qu’elle pompait le lait de mes tétons me procurait des ondes de plaisir des pieds à la tête. Mon père me caressait fébrilement tout le corps pendant qu’il me tétait. Il ravageait mes vêtements, pressait sa bite contre moi à travers sa braguette, passait ses doigts dans ma raie trempée du sperme de Roger qui s’écoulait encore et il soufflait comme un phoque… Son corps sentait tellement fort le sexe que toute la cuisine était imprégnée par cette odeur. Et elle ...
    ... m’enivrait en démultipliant mon envie de lui. Et mon père avait un tel désir sexuel qu’il me transmettait son désir et que je n’en pouvais vraiment plus. Mon corps se tordait du désir de cet homme, je râlais comme lui, geignais et gémissais... Je pressai mes seins pour en faire sortir les dernières gouttes de lait que mon père avala goulûment et je me renversais sur la table, les cuisses largement écartée et totalement offerte.
    
    Mon père remonta ma jupe et dégrafa sa braguette précipitamment. Quant à moi, j’avais tellement envie de le sentir me remplir que je ne pensais même pas à l’obliger de se dévêtir comme je l’avais fait avec Roger. Je le désirais et le voulais tout de suite au fond de moi… Ce n’est que lorsque je sentis sa bite épaisse commencer à s’enfoncer dans mon corps au milieu du foutre de Roger que je m’apaisai un peu. Je l’attirai tout au fond de moi, voulant me remplir complètement de lui, de cet homme qui m’avait conçue et que je recevais maintenant au plus profond de moi. Et rien que cette idée m’excitait encore plus. Mon corps accompagnait le sien, le forçant à me remplir le ventre encore et encore de sa grosse bite qui occupait tout de moi jusque dans ses moindres recoins. Mon père râla et je râlai avec lui quand il déchargea sa semence au fond de mon ventre. Pour prolonger ce merveilleux moment où son sperme se déversait en moi, je le forçai à me téter en même temps et à se goinfrer du lait qui engorgeait à nouveau mes mamelles sous l’effet de l’excitation. Quand ...