1. Monstre ou déesse ? (2)


    Datte: 14/12/2018, Catégories: Divers, Auteur: Persea, Source: Xstory

    ... rien... T’es une vraie gonzesse que tu le veuilles ou non. Et en plus une gonzesse qui vient de s’en prendre plein le cul si j’en crois ce sperme qui déborde de ton cul de gonzesse… Roger d’après ce que tu m’as dit ? »
    
    Je devins rouge comme une pivoine et ne savais plus où me mettre. J’avais complètement oublié que notre voisin venait de me remplir et qu’il était impossible de le cacher.
    
    — Je vais t’appeler Morgane maintenant, continua mon père. T’es une gonzesse, bah tu vas tout simplement t’habiller en gonzesse voilà tout. Et tu vas te conduire en gonzesse et ne plus chercher à tricher avec ton père…
    
    — Je comprends pas…. Qu’est-ce que tu veux dire papa ?
    
    — Tu vas comprendre très vite ma chérie. File dans la chambre de ta mère. Je veux te voir redescendre avec des vêtements de femme… chaussures à talon et tout le reste…. Et oublie pas les sous-vêtements... La totale ! Un peu de maquillage si tu veux et tu redescends me voir après…
    
    Je ne comprenais rien de ce que voulait mon père mais j’obéis. Qu’attendait-il donc de moi et pourquoi me demandait-il une telle chose ? Ses yeux n’étaient plus les mêmes quand il me regardait. J’y voyais un peu la même chose que dans les yeux de Roger et j’étais mort de trouille. Si maman savait ! Mais elle ne saurait probablement jamais rien, elle qui était partie du jour au lendemain pour suivre un mec bien plus jeune qu’elle et qui nous avait plaqués tous les deux, papa et moi… Ça faisait déjà presque six mois et papa ne ...
    ... parlait jamais d’elle. Mais il avait changé, s’était renfermé sur lui-même, était devenu peu loquace, comme aigri et depuis, il parlait des femmes d’une manière vulgaire et très méprisante…
    
    Quand je redescendis, oui j’étais une vraie gonzesse et en plus, le miroir de maman m’avait même renvoyé une image qui me plaisait. Si j’avais rencontré une fille comme ça dans la rue, je me serais retourné sur elle à m’en prendre un poteau.
    
    Mon père s’immobilisa et resta pétrifié quand il me vit…
    
    — Putain de merde ! finit-il par lâcher…
    
    Il s’approcha lentement de moi sans me quitter des yeux. À nouveau je sentis cette lueur de sexe dans ses yeux. D’ailleurs son corps commençait à transpirer le rut par tous les pores de sa peau tout comme Roger tout à l’heure. Mon père avait beau être mon père, il n’en était pas moins homme pour autant… Je le découvrais tout d’un coup alors que cette notion m’avait totalement échappé avant. En tant qu’homme c’était un sacré bel homme, il fallait le reconnaître. Rien à voir avec Roger… mon père était puissant, avec un visage très mâle aux cheveux bruns très courts et il portait toujours une barbe de trois ou quatre jours par flemme de se raser. Des traits nobles et très virils, un corps très charpenté et lourd, puissamment musclé avec une légère toison noire sur le torse, les bras et les cuisses…
    
    Et cet homme me prit brusquement à bras-le-corps et me renversa, le dos sur la table. Il passait la main sous ma jupe courte et étroite et caressait mes ...
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