1. La Divine Providence


    Datte: 13/02/2018, Catégories: fh, fdomine, humilié(e), historique, Auteur: Pierre Siorac, Source: Revebebe

    Synopsis
    
    Dumas n’a pas tout dit. Dumas n’a pas tout raconté parce qu’il ne pouvait pas. Les journaux pour lesquels il écrivait lui commandaient des scénarios héroïques, des histoires pleines de rebondissements, des situations improbables… mais surtout des héros qui étaient à l’image de son époque, c’est à dire discret sur certains de leurs exploits et muets sur certains de leurs plaisirs secrets. Lorsqu’il rédigeaVingt ans après (dont l’histoire se situe à l’époque dont nous parlons aujourd’hui), il fut bien forcé de cacher certaines choses. Son talent immense et son imagination féconde ont fait de ce roman un des sommets de la littérature d’aventure, mais également une des plus grosses impostures historiques du XIXème siècle. Nous allons donc, au fil de ces pages – et au fil des chapitres qui suivront – essayer de rétablir en partie la vérité.
    
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    Résumé des épisodes précédents :«Tous pour une »Au cours d’un bal organisé par Mazarin afin de rallier à lui les seigneurs de province contre les nobles frondeurs, Aramis parvient à enlever la femme de l’un d’eux qui lui a juré son amour quelques années auparavant…«D’Artagnan part en mission »Tandis qu’Athos, Porthos et Aramis cherchent le meilleur moyen de prendre la fuite, Mazarin a demandé à d’Artagnan de retrouver les fugitifs, et à Rochefort de surveiller d’Artagnan.
    
    «Caprices de femmes »
    
    La duchesse de Longueville demande la tête d’Aramis à Rochefort ; Augustine pleure dans les bras de ...
    ... d’Artagnan, et Caroline exige un massage particulier.
    
    «États d’âme et trahison »
    
    Madame de Longueville obtient carte blanche ; d’Artagnan se bat… contre lui-même. Une étrange lettre arrive chez le cardinal de Retz.
    
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    Dans la chambre qui abritait ses amours avec la belle Caroline, Aramis venait de revêtir une tenue dans laquelle on ne pouvait s’attendre à contempler un homme d’Église, et moins encore un mousquetaire. Enfin, « tenue » était un mot inapproprié dans la mesure où il était pour l’occasion quasiment nu, avec juste un tablier blanc qui cachait le devant de son anatomie, juste en dessous de la ceinture. Et ce n’était pas une épée qu’il tenait dans sa main droite, mais… un plumeau.
    
    Caroline, elle, avait juste enfilé sur le haut de son corps superbe la chemise blanche qui cachait si peu sa superbe poitrine et lui descendait jusqu’à mi-cuisses. Elle regardait son « serviteur » d’un œil particulièrement amusé, et en particulier ses fesses musclées qu’elle aimait tant caresser.
    
    — Tu n’es vraiment pas douée pour la poussière, soubrette… Je ne sais pas si je vais te garder à mon service.
    — Que Madame me pardonne, mais elle ne cesse de se redéposer sur les meubles au fur et à mesure que je l’essuie. Ce serait plus facile avec un simple chiffon.
    — J’ai dit : le plumeau !
    — Bien, Madame. Mais je crains alors de ne pas pouvoir faire grand-chose de plus contre cette maudite poussière.
    — Hum… Tu as vraiment un beau petit cul, soubrette. ...
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