1. Le Bal...


    Datte: 11/12/2018, Catégories: fh, inconnu, jardin, volupté, Auteur: Phoénix, Source: Revebebe

    ... longueur, je me rappelais sa bouche sur moi quelques jours auparavant, après que je lui eu refusé l’accès à ma langue, elle avait été une élève studieuse, me prenant et se délectant comme elle ne l’avait jamais fait… me goûtant et suçant avec douceur, vitesse parfois, maladresse peut être à certains moments, laissant son corps subir le plaisir qu’elle m’infligeait, elle tremblait comme maintenant, gémissant lorsque j’avais soudain accéléré, buttant au fond de sa gorge, revenant à plus de calme, puis m’entraînant de nouveau dans une cadence instinctive, plusieurs fois je m’étais senti me tendre, prêt à exploser, mais elle avait ralenti de nouveau… avant de recommencer, enlaçant parfois mes bourses, attrapant mon bâton de ses doigts agiles, tétant le gland, l’enfilant entre ses lèvres comme dans son ventre, elle m’avait emmené vers la jouissance… mes mains sur sa nuque, lui donnant le rythme soudain, amenant mes hanches à la rencontre de sa douceur, de sa moiteur…
    
    Jouissance des hommes, énergie vitale hors de toute atteinte, soudain, je bandais un peu plus à me rappeler la chaleur de sa bouche alors que sa main me comblait ce soir, ses lèvres offertes lascivement, je prenais sa langue de la mienne, et elle répondait en se collant contre mon corps en une invite lascive et totalement hors de son contrôle… Je l’embrassais et je sentais qu’elle réagissait comme lorsque je lui avais fait l’amour, lorsque ses jambes s’étaient ouvertes sur moi, son ventre brûlant m’avait ...
    ... ouvert ses chemins de paradis brûlants comme l’enfer, elle s’abandonnait dans ses baisers comme dans l’amour… le contrôle d’elle, sa timidité… tout cela laissait place à une femme étonnante et sensuelle, primaire et animale… elle ondulait comme sous mes coups de butoir… et elle gémissait en frissonnant. Elle émit un cri léger de surprise lorsque je pris son sein dans ma paume, se cambrant soudain en laissant un frémissement remonter le long de son échine… elle ouvrit des yeux affolés et voilés, se sachant perdue à toute pensée cohérente… elle était de feu et je la sentais vibrer comme dans l’extase.
    
    Elle referma ses paupières, comme si mon regard sur elle était insoutenable et ce que je prenais comme une sorte de complexe sur son corps, me parut soudain comme le simple fait que le plaisir si fort… seul, elle ne pouvait le contenir de ses yeux… elle le retenait, le gardait et le laissait monter en elle… volupté c’est son nom…volupté est son réel talent… Elle gémissait sans retenue, doucement, comme un feulement très doux elle laissait ce son de chatte franchir ses lèvres… « Je veux que tu me fasses l’amour … emmène-moi haut, perds-moi… perds-moi… ». Je ne pensais plus à la possibilité que quelqu’un nous surprenne, je m’en moquais comme elle semblait s’en moquer…étant trop embarquée elle ne voyait plus que le plaisir et ce délire si doux de sa voix ne me trompait pas…
    
    Je délaçais la jupe qui s’étala autour de ses jambes, fleur elle semblait comme le pistil d’une orchidée, ...
«12...456...»