1. Le Bal...


    Datte: 11/12/2018, Catégories: fh, inconnu, jardin, volupté, Auteur: Phoénix, Source: Revebebe

    ... jaillissant d’entre ses limbes de tissu elle était seulement vêtue de ses bas blancs, retenus aux cuisses par des rubans rouge rubis comme sa robe… Je regardais le mouvement de ses seins soulevés par le bustier, que je finis de faire tomber, laissant se répandre ses rondeurs enfin… sa peau un peu marquée par les coutures des vêtements d’époque, par sa vie de femme, elle était naturelle et ouvrit un regard fier… Elle se voyait maintenant avec les yeux de femme, de sens, elle exposait ce qu’elle n’exposait pas quelques mois auparavant… elle me révélait et se révélait… et je savais qu’elle n’avait pas fini de m’étonner de cette audace nouvelle qui l’habitait.
    
    Elle prit mes mains, les fit glisser de ses seins à son ventre, guidant mes doigts en elle, y mêlant les siens, elle appelait mon nom… elle m’appelait et ce fut le déclic. Mais elle glissa soudain à mes genoux… relevant les yeux vers moi avec un sourire mutin, un peu hésitante, elle défit la fermeture complexe, fit enfin sortir mon sexe de son carcan de velours et y appliqua une pointe de langue en plongeant l’ombre de ses yeux dans les miens… l’offrande par sa bouche… Je glissais mes mains dans ses cheveux, la guidais avec langueur, baissais mes yeux sur sa silhouette prosternée mais dont je savais quel caractère farouche elle cachait, elle ne se soumettait pas, elle m’offrait, elle se faisait plaisir de me donner du plaisir et cela me fit réaliser que j’avais fin de ce ventre que je n’avais jamais goûté ...
    ... totalement.
    
    J’avais amené cette femme à la jouissance une fois de mes doigts, agilement, avec patience, en la serrant dans mes bras, retenant son corps qui avait tenté d’échapper à la montée du plaisir, j’avais tournoyé, titillé, excité, et senti ses spasmes et ses râles d’extase… elle avait joui de mes doigts, elle avait eu du plaisir par ma bouche sur son clitoris exacerbé, un peu, mais je n’avais jamais embrassé complètement cette origine du monde qui la faisait si femme… je n’avais jamais caressé et offert ma science à son ventre, senti sa chaleur et sa cyprine couler… je l’avais juste senti sur mon sexe pendant qu’elle m’avait chevauchée… ou pendant que je la pénétrais avec délice…
    
    Je la tirais en arrière, l’allongeant sur le sol, protégée du lourd jupon sous nos corps et je plongeais vers son ventre… elle se tortilla pour revenir au mien… elle me reprit dans sa bouche et je défaillais un instant… alors que je glissais mes doigts en elle, elle se cambra… et s’ouvrit comme une fleur offre ses pétales soyeux au soleil, elle ouvrit ses jambes, avança son bassin, appelant de son corps. Les plis de ses lèvres gorgées entrouverts, je les écartais comme un lis fragile, dévoilant enfin la vulve gonflée, rouge, j’embrassais enfin, me noyant en elle… elle se raidit une seconde lorsque je posais la pointe de ma langue sur son bourgeon électrique, puis se détendit soudain… soupirant elle se mit à frémir contre mes lèvres alors que je lui donnais enfin ce baiser si particulier… et qu’elle me ...
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