Educatrices Ch. 09
Datte: 10/12/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... craindre une visite inopinée, qu'aurait pensé, qu'aurait conclu un éventuel trouble fête de la voir travailler en cette tenue.
Et pourtant les ordres étaient clairs et strictes, nue comme au jour de sa naissance, elle devait attendre la venue de son fouteur.
Toute la matinée, alarmée au moindre craquement, au moindre grince-ment, elle travailla d'arrache pied pour oublier ses angoisses.
Elle en arrivait à espérer sa venue rapide, venue qui la délivrerait de sa solitude et de ses peurs.
Enfin, sur le coup de midi, il arriva.
Il la trouva blottie entre deux piles de linge, appréhendant avec anxiété l'arrivée du visiteur qu'elle venait d'entendre, peu sûre que ce fut lui.
Elle se rasséréna à sa vue, et éperdue de joie, elle se jeta dans ses bras, lui livrant ses lèvres chaudes, c'était bien lui et non pas un quel-conque quidam qui l'aurait surprise.
Tout de suite, sans plus de cérémonie, il la jeta sur le lit de repos.
Elle gisait comme une poupée de chiffon, cuisses grandes ouvertes, charmes livrés à sa convoitise.
Ouvrant son compas à la limite du douloureux, il plaça ses chevilles sur ses épaules et d'un seul élan, il la poignarda de son rostre raidi.
Quelques soubresauts, puis engagé comme une bielle entre les babines juteuses, il vomit son trop plein dans le tréfonds du vagin assoiffé, il se cabra encore l'empalant jusqu'aux couilles, pubis entremêlés tout en dé-gorgeant son trop plein avec des petits grognements de ...
... contentement.
Quelques coups de langue habilement dispensé et revêtue de ses mai-gres atours elle l'accompagna rejoignant ses compagnons au réfectoire .
Le repas rapidement avalé, elle ôta à nouveau sa jupe et fesses nues débordant largement le court chemisier, elle lava la vaisselle sous leurs regards égrillards, ils s'échauffaient déjà!
Ils s'étaient accordés un après-midi récréatif, dont, bien évidemment elle serait la principale actrice!.....
Pour être plus à leur aise, ils l'entraînèrent à l'infirmerie, toujours cul nu, suintant par ses deux orifices. Tout l'après-midi ils la limèrent sur une cadence effrénée, se relayant pour s'épancher dans sa bouche sa chatte ou ses reins.
Ils clôturèrent la journée en se ruant simultanément dans ses trois trous béants.
Secouée d'orgasmes dévastateurs, couverte de sperme et de sueur, elle parvint à leur soutirer encore une dose appréciable de sperme crémeux.
Les jambes lourdes, le ventre brûlant, l'anus endolori elle remit de l'ordre dans la pièce, l'aéra, refit le lit tandis qu'ils se congratulaient à voix haute, commentant grivoisement ses performances.
Ainsi, jour après jour, elles se relayèrent pour apaiser les désirs de ces mâles en rut ; ce n'est que rarement qu'elles se trouvèrent réunies, tout au moins à trois, elles profitèrent de ces rares occurrences pour confron-ter leurs impressions.
Ce qui émergeait tout d'abord de leurs discussions, c'est la satisfaction de s'en être tirées à si bon compte sans scandale, sans ...