1. Educatrices Ch. 09


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... meuble, ventre appliqué au verre froid.
    
    Avec impatience il lui rudoya les fesses, les ouvrant à lui faire mal et d'un seul élan s'engouffra entre ses reins fiévreux.
    
    Bien qu'habituée à se faire ramoner l'étroit conduit, elle ne put refouler un cri de douleur consécutif à la brutale intrusion, n'en ayant cure il l'em-pala jusqu'à la garde et se mit à ruer dans ses reins dilatés.
    
    On n'entendait plus que des halètements dans le bureau, elles s'acquit-taient avec le plus grand cœur de leur première traite et c'est presque avec la joie du travail bien accompli que les deux zélées fellatrices re-cueillirent à pleine bouche la semence de leurs contractants tandis que
    
    Murielle sentait le sien se déverser à gros bouillon dans ses entrailles frémissantes.
    
    Chaque jour elles se rendirent à leur rendez vous, leurs culs, leurs bou-ches, leurs cons obtinrent des chefs une démission motivée pour un mo-tif moins grave : elles avouèrent, par défaut de surveillance avoir laissé les jeunes dévolus à leur responsabilité se livrer à des trafics interdits : troc, racket, beuveries...
    
    Cette entente gagnée à la force des reins leur valut aussi de toucher 'in-tégralité de la prime de licenciement, ce qui leur permit de faire passer avec plus de facilité la nouvelle de leur arrêt à leurs maris, qui ne s'étalè-rent pas sur les motifs de renvoi, certains qu'ils étaient de la véracité des lettres de licenciement.
    
    Bien sûr la pilule ne passa avec facilité, mais elles surent se ...
    ... montrer as-sez chattes avec leurs conjoints pour envisager leur avenir avec plus de sérénité.
    
    Elles prirent très vite le rythme, chacune leur tour, elles accordaient leurs faveurs aux trois mâles en rut qui profitaient du peu de monde dans les locaux vidés par les vacances.
    
    Souvent seules, parfois à deux ou trois, au hasard des lieux elles se fai-saient trousser sur une table, sur un lit, une pile de linge, dans la salle de sports.
    
    Entièrement à la disposition de leurs chefs, elles se pliaient à leurs dé-sirs quelque soit l'endroit et le trou par lequel ils désiraient les forcer.
    
    Ainsi, ce mardi, Françoise, précédant leur venue, les attendait à genoux sur le paillasson du bureau.
    
    Christophe ne dédaignait pas d'adjoindre à l'humiliation une petite pointe de douleur, ce qui d'après lui, pimentait les rapports.
    
    Les poils durs de la véritable brosse lui meurtrissant les genoux, jupe courte, sexe libre de tout voile, corsage baillant, dévoilant largement les globes fermes de ses seins, le cou tendu, elle guettait l'arrivée des queues que bientôt, en courtisane zélée, elle cajolerait de son mieux.
    
    Des bruits de pas troublèrent le silence glauque du petit matin, la porte s'ouvrit, déjà débraguettés, Christophe et Christian lui fourraient déjà leurs bites épaisses sous le nez.
    
    Des effluves musquées envahirent ses narines, d'un commun accord, ils ne se briquaient plus la byroute, estimant qu'entre autre, c'était aux trois femelles de maintenir leurs génitoires ...
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