1. Educatrices Ch. 09


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    EDUCATRICES Ch 9
    
    Coulybaca Texte personnel
    
    Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.
    
    Chapitre 9 : Prises sur le fait... Comment se tirer d'affaire!
    
    Déjà trois semaines s'étaient écoulées, les quatre jeunes femmes se pliaient avec plus que de la docilité aux désirs des jeunes, elles participaient pleinement à leur possession leurs âmes s'étaient faites à l'exultation de leur corps, elles en redemandaient, au point de ne plus observer leur emploi du temps, provoquant d'elles mêmes des motifs de rencontre supplémentaires.
    
    Le mari de l'infirmière se félicitait de voir sa femme si productive, encore quelques années et leurs soucis d'argent s'estomperaient, celui de la pharmacienne se réjouissait de la voir si épanouie en compagnie de jeu-nes femmes dont il n'aurait jamais douté de leur honorabilité, quant au mari de l'éducatrice de week-end, content de voir sa femme si active, si dynamique, bien que regrettant son indisponibilité familiale pensait qu'au moins ainsi il n'avait rien à craindre d'éventuels rivaux.
    
    Françoise était certainement la plus mal lotie des quatre, elle supportait de plus en plus mal les hommages rapides de son mari, que de migraines ne ressentait-elle d'ailleurs à l'heure du coucher, alors qu'elle le sentait de plus en plus soupçonneux .
    
    Son tau de jalousie croissant d'ailleurs régulièrement en fonction de son imprégnation alcoolique.
    
    Encore, n'assistait-elle pas aux rapports de Francis à son ...
    ... mari, le jeune voisin avait beau s'escrimer à la suivre, bien qu'il renifla quelque chose de louche, il n'arrivait pas à la coincer en flagrant délit, ce qui paradoxa-lement renforçait les certitudes de l'époux aigri.
    
    Mais Francis se rendait compte, peu à peu, à l'écoute des épanche-ments de l'imbibé, que c'était pas tellement sa femme qu'il jalousait, mais que surtout il se plaignait de voir disparaître la jeune fille soumise à ses désirs et à ses volontés qu'il avait épousée.
    
    Plus que l'infortune dont il se croyait victime, il ne supportait pas l'évolu-tion de son épouse qui petit à petit s'affranchissait de son respect du mâle .
    
    Plus que son amour propre, c'était son machisme qui souffrait.
    
    la vie coulait donc paisible entre les banales possessions, banales bien que parfois rudes de la semaine, et les soirées d'échange du week-end.
    
    Ces soirs la, elle devaient se soumettre à de parfaits inconnus, elles ser-vaient de monnaie d'échange à leurs amants, qui, grâce à leurs charmes pouvaient s'offrir le corps d'autres bourgeoises du cru, bourgeoises par ailleurs bien souvent elles mêmes sous la suggestion de jeunes voyous.
    
    Cet avant dernier samedi de juillet, Françoise accueillait trois jeunes ma-les dans ses trois orifices, Murielle faisait de même, alors que Sylvie et Fabienne se gouinait en 69 tandis que deux bites turgescentes leur fo-raient l'anus, Miloud et ses amis les pines bien au chaud dans la bouche des femmes de leurs potes tentaient de faire durer le ...
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