1. La boîte échangiste


    Datte: 10/12/2018, Catégories: f, ff, fhh, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe

    ... chic. Pas de robe. Bien entendu, tu gardes ton plug, et tu prendras le bandeau pour tes yeux ainsi que la boîte de préservatifs. Ça sera tout…
    
    Il me fait signe de m’en aller. Je me retourne et suis presque sortie lorsqu’il dit presqu’à voix basse :
    
    — Au fait, je ne sais si tu l’as remarqué, mais Hélène te suit depuis ce matin. Elle était là tout à l’heure, elle a tout vu, cachée derrière une fenêtre. Quand tu es sortie, elle t’a épiée puis s’est sauvée quand tu as marché vers elle. Tout le monde le sait au château : elle est amoureuse, folle de toi…
    
    Je continue à marcher vers la sortie, sans me retourner ; je ne veux pas lui montrer mon ébahissement. Quoi, ma petite Hélène ! Sa gentillesse, sa bonne humeur, sa serviabilité, sa patience devant mes caprices, tout ça parce qu’elle est amoureuse de moi ! Je suis ébahie. Comment ai-je pu ignorer cela ?
    
    En avançant vers le château, je m’interroge. Je réalise soudain que je ne connais pas mon personnel. Oh ! Je sais leurs noms et leur apparence, mais rien de ce qu’ils aiment, de ce qu’ils font en dehors de leur service. C’est maintenant que je commence à en prendre conscience.
    
    Je suis rentrée et je me suis couchée. Sans dormir, je me suis reposée et j’ai pensé à tout cela. Je suis en train de remettre en cause toute ma façon de vivre…
    
    Au dîner, j’observe Hélène attentivement. Elle fuit mon regard, ne sourit pas, semble vraiment gênée devant moi. Elle baisse la tête quand je lui dis que je vais sortir ce soir, que ...
    ... je vais rentrer très tard et qu’elle ne me réveille pas avant 10 h 30. Elle marmonne un vague :
    
    — Bien Madame. Comme Madame voudra. Et s’en va, sans un sourire.
    
    Je ne sais pas ce que je vais faire avec elle, mais ça attendra demain. Il est temps de me préparer pour ce soir. Je prends une longue douche délassante, j’aurais aimé demander à Hélène de venir m’essuyer comme elle le fait parfois, mais je ne pense pas que ce soit le bon jour pour cela !
    
    Nue – je commence à vraiment goûter le plaisir d’être nue – je me maquille longuement et, pendant plus de temps encore, je me brosse les cheveux. Ça détend un peu la boule d’angoisse qui commence à se former dans ma gorge.
    
    J’ouvre mon armoire pour choisir des sous-vêtements. J’hésite sur la couleur, sur la forme ; je me décide enfin pour un ensemble noir et dentelles. Le soutien-gorge pigeonnant rehausse mes seins et les met en valeur et la culotte, à la brésilienne, dégage bien mes cuisses et fait ressortir mes fesses. Lorsque je les enfile, j’ai l’impression d’être engoncée, serrée ; on prend vite l’habitude de la liberté !
    
    Soudainement, je réalise qu’il faut que je mette le porte-jarretelles qui va avec l’ensemble et des bas unis, très sombres. Je sors aussi une paire d’escarpins aux talons immenses qui me font des mollets à damner un saint.
    
    Dans le dressing, le choix est encore plus difficile. Encore heureux que je puisse éliminer d’office toutes les robes. Je finis par opter pour un tailleur vert sombre de coupe ...
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