1. La boîte échangiste


    Datte: 10/12/2018, Catégories: f, ff, fhh, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe

    ... gémis. Cette fois-ci, il ne s’y trompe pas :
    
    — Mais tu aimes ça, on dirait…
    
    Il amplifie le mouvement mais mon anus, distendu, demande grâce. Je le supplie d’arrêter ; ce qu’il fait immédiatement.
    
    — Je ne veux pas te faire mal. Retire-le toi-même…
    
    Alors, je m’accroupis et, dans cette position, je retire l’objet que je lui tends. Il le pose, prend un préservatif qu’il enfile sue son majeur et me fait signe de reprendre ma position. Bonheur ! Je sens la chaleur de la main qu’il a posée sur ma fesse. En même temps, son doigt me pénètre, s’enfonce, fouille dans mes entrailles. Je suis à la fois gênée par cette position humiliante et comblée parce qu’enfin, il me touche et que c’est bon.
    
    Il retire son doigt et enfile un autre préservatif sur index et majeur. Cette fois-ci, la pénétration est beaucoup plus douloureuse, des larmes de souffrance me sortent des yeux et je geins. Une fois enfoncé, il ne bouge plus et attend que la douleur s’estompe, puis très lentement, il se retire. Il murmure, comme pour lui-même :
    
    — Je voulais essayer le godemiché, mais c’est prématuré.
    
    Puis, élevant la voix :
    
    — Tu as bien travaillé. Bientôt tu pourras prendre du plaisir par cette voie. Tu vas mettre l’autre plug.
    
    Et il me tend l’objet. Il est en métal, beaucoup plus long et gros que l’autre. La partie externe contient une grosse pierre bleue. J’imagine que certaines – ou certains – sont très fiers d’exhiber leur derrière orné de ce « bijou ». Après l’avoir bien lubrifié, ...
    ... je reprends ma position accroupie pour l’enfoncer. Ça passe sans trop de douleur mais, relevée, ce nouveau volume me perturbe grandement. Voyant les larmes qui recommencent à perler, Adrien me dit très gentiment (et c’est déjà une moitié de la douleur qui disparaît) :
    
    — Il faut que ton corps s’habitue. Va faire quelques pas à l’extérieur, les jardiniers sont partis en ville, tu ne rencontreras personne.
    
    Je sors et je marche lentement autour du belvédère. Malgré ma gêne, je prends plaisir à me promener toute nue au milieu des arbres. Devant moi, des craquements dans un fourré, sans doute un animal dérangé par mon approche ; j’entends un bruit de fuite. Au fil de mes pas, la douleur disparaît progressivement et, après quelques minutes, je peux rentrer presque sereine pour retrouver Adrien.
    
    Il m’attend patiemment, toujours assis sur sa marche. J’aimerais qu’il me console tendrement, qu’il me prenne dans ses bras. S’il pouvait seulement me toucher, avoir un geste d’affection ! Il m’arrête avant que je ne sois près de lui :
    
    — Tu peux te rhabiller, c’est fini.
    
    Je ravale mes espoirs, je commence à avoir l’habitude. Je vais décrocher ma robe, l’enfile et la boutonne en me tournant vers lui.
    
    — Ce soir, je vais t’emmener dans une boîte un peu spéciale. Tu vas aller te reposer car nous ne partirons que vers vingt-deux heures trente. Exceptionnellement, tu mettras des sous-vêtements, culotte et soutien-gorge, tu choisiras les plus sexy et tu mettras ton tailleur le plus ...
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