1. La boîte échangiste


    Datte: 10/12/2018, Catégories: f, ff, fhh, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe

    ... seins.
    
    À 10 h 30, quand il frappe à la porte, j’ai le cœur qui cogne à grands coups. Je suis assise derrière mon bureau depuis une dizaine de minutes et je n’arrive pas à me concentrer. J’ai croisé les jambes et mes cuisses se crispent convulsivement pour presser, masser ma vulve et mon clitoris. C’est un bien petit bonheur, mais ça entretient mon excitation.
    
    Comme hier, il entre puis s’adosse à la porte :
    
    — Viens ici, ma belle. Que je te voie.
    
    Je me lève, contourne le bureau et m’approche de lui d’une démarche que je veux très sensuelle. Il ne semble même pas le remarquer.
    
    — Mmmm oui, très bien ta petite robe. Bien, retourne au bureau et penche-toi, que je t’examine…
    
    Tout cela est dit d’un ton détaché, froid. Un médecin serait plus chaleureux ! J’obéis et, prenant appui sur le bureau, je me plie en deux. Il me rejoint et soulève ma robe. Il écarte mes fesses, saisit la partie externe du plug et fait tourner. Déroutant ! La sensation est agréable ! très agréable même ! Je me surprends à gémir de plaisir. Adrien se méprend et croit que c’est la douleur :
    
    — Il va bien falloir t’y faire. Tu verras, avec le temps tu finiras par aimer… Tu peux te redresser.
    
    Il s’est reculé jusqu’à la porte ; je n’ai pas pu le toucher.
    
    — Cet après-midi, rendez-vous au belvédère vers quinze heures. Tu viendras avec des préservatifs, la vaseline, le godemiché et le gros plug. Au fait, ne prévois rien pour ce soir : nous sortons. Je t’en dirai plus tout à l’heure.
    
    Il a ...
    ... ouvert la porte et est sorti. Le temps qu’il referme, j’ai cru apercevoir Hélène qui s’éloignait.
    
    Je suis encore déçue, encore une fois aucune gentillesse, il me laisse seule, frustrée.
    
    Maintenant, il est l’heure d’aller le rejoindre. Je mets tout ce qu’il a demandé dans un sac de toile et je m’en vais en promenade comme à mon habitude.
    
    Vendredi 9 juillet – 20 h 30
    
    Il est à peine plus de quinze heures lorsque j’arrive au belvédère. En chemin, je n’ai rencontré personne, pourtant je me suis arrêtée deux fois pour regarder derrière moi, j’avais l’impression d’être épiée, d’être suivie. Mais rien, bien entendu, c’était certainement la nervosité. J’entre et, comme la dernière fois, il est assis sur les premières marches de l’escalier.
    
    — Approche et donne-moi ce que tu as apporté.
    
    Il dispose tous les objets sur la marche à côté de lui.
    
    — Retire ta robe, ce sera plus pratique…
    
    Je déboutonne lentement, sensuellement, mais il me regarde à peine. Son regard semble attiré par une fenêtre ; quand je regarde moi-aussi, il me semble apercevoir un mouvement furtif derrière les vitres sales. Je retire ma robe et l’accroche à un clou au mur. Je reviens vers lui ; il s’est levé et me demande de me pencher en avant. Je m’appuie sur l’escalier.
    
    Comme ce matin, il attrape le plug, le fait tourner puis, avec beaucoup de douceur, lui imprime un léger mouvement de va-et-vient. À nouveau, j’éprouve cette sensation voluptueuse que j’avais déjà éprouvée. Encore une fois, je ...
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