1. Une si brave épouse 4


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... simplement heureux de se côtoyer.
    
    - Cela n'a rien d'extraordinaire. Mieux vaut s'entendre que de se tirer dans les pattes au boulot.
    
    - Vous avez raison. A force de se sentir bien ensemble, un soir j'ai osé.
    
    - Quoi ?
    
    - A 17 heures, à l'instant de quitter le bureau, ma bouche n'a pas visé les joues. J'ai posé mes lèvres sur celles d'Odile. Elle a été surprise, a eu un mouvement de recul, m'a regardé et tout à coup elle s'est jetée sur ma bouche pour un baiser formidable. A la fin, elle s'est exclamée :
    
    - Enfin, tu as osé. Depuis le temps que j'espérais ça! C'est fait. Je suis folle de toi. Je n'osais pas. Merci d'avoir eu ce courage. C'est tellement bon
    
    Nous disposions d'une heure avant le passage de la femme de ménage. Le baiser a repris. Les étreintes ont été de plus en plus chaudes. Nos mains ont tiré sur les boutons, nos bouches ont visité les recoins de peau. Enfin vous pouvez imaginer les caresses, la blouse qui s'ouvre, les seins qui jaillissent du soutien-gorge, la jupe qui remonte, la main entre les cuisses, les caresses intimes. Nous étions comme fous de désir. Nous avons fini sur le sol. La passion avouée, nous avons fait l'amour à même le parquet.
    
    - Odile a fait ça ? Par Terre ? Vous l'avez pénétrée ce soir là à terre ? Elle si douillette d'habitude. Et elle vous chevauchait ? Je veux dire que vous étiez couché sur le dos et qu'elle était sur vous, votre sexe enfoncé dans le sien, dans la position du papillon. Sa position favorite ? Vous avez ...
    ... recommencé ?
    
    - Odile douillette? Je m'en serais aperçu. Au contraire elle adoptait toutes les positions.Sur le dos, cuisses ouvertes, à quatre pattes les fesses tendues pour m'accueillir en levrette, sur le côté avec une jambe en l'air. Parfois elle se penchait sur son bureau et je la possédais debout par devant ou par derrière. Elle refusait farouchement la sodomie. Sinon elle avait pour devise celle des scouts "toujours prête".C'était une chaude comme il y en a peu. Non seulement nous avons recommencé, c'est devenu une activité quasi quotidienne, toujours renouvelable. Du fond des années d'attente notre envie remontait toujours plus puissante.
    
    - Vous lui imposiez de ne plus faire l'amour avec moi?
    
    - Je ne suis pas fou à ce point. Je ne voulais pas alerter un mari qui l'aurait mal pris.
    
    - Vous avez l'impression que je le prends bien ?
    
    Non, j'étais heureux de ce qu'elle m'accordait généreusement. Je ne l'interrogeais jamais sur vos pratiques sexuelles. Ca et là j'ai noté que vous fonctionniez au ralenti depuis deux ou trois ans, que vos nuits étaient trop calmes pour une femme ardente.
    
    - Odile exagérait. Pour vous plaire ?
    
    - Je reprends. Vous ne preniez plus ou presque plus votre épouse. Elle était en manque. Elle attendait l'homme qui la ferait jouir régulièrement. Lorsqu'elle sera rétablie elle ressentira les mêmes envies de sexe, de contacts, de pénétration et d'orgasmes. Il faudra que quelqu'un la satisfasse. Je suis là, tout disposé à lui apporter ...
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