1. Histoire d'étudiantes


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... puis de mes seins à mes cuisses. De mes cuisses à mes yeux.
    
    C’était un homme au visage et au physique ordinaires.
    
    Il m’a dit :
    
    « Vous venez souvent ici ? »
    
    « De temps en temps, pour bouquiner. »
    
    « C’est bien. J’aime beaucoup lire aussi. Que lisez-vous ? »
    
    « Louis Calaferte. »
    
    « Je ne connais pas. »
    
    J’ai précisé :
    
    « La Mécanique des Femmes. »
    
    Il a souri en regardant mon livre posé à l’envers sur mes genoux.
    
    « C’est compliqué, les femmes. Je les trouve encore plus mystérieuses que les astres. Qu’en pensez-vous ? »
    
    « On m’a souvent dit que j’étais compliquée. »
    
    Il souriait toujours, mais en me regardant dans les yeux.
    
    « Je n’en doute pas. Pourtant, quelque chose me dit que vous aimez la simplicité. Je me trompe ? »
    
    J’ai souri à mon tour et répondu en regardant ailleurs.
    
    « C’est vrai. J’aime ce qui est simple. »
    
    Il a croisé ses jambes, puis ses bras.
    
    « Voyez-vous un inconvénient à ce qu’on se tutoie ? »
    
    Je me suis tournée vers lui.
    
    « Non, je n’en vois pas. »
    
    « Parfait. Je trouve que le tutoiement change tout dans une relation ou un simple dialogue. Qu’en penses-tu, Émilie ? »
    
    « Oui, sans doute. »
    
    « Peux-tu me tutoyer ? »
    
    J’ai cherché une phrase, mais je n’en ai pas trouvé, alors j’ai dit :
    
    « Je ne sais pas quoi te dire. »
    
    « Tu vois, tu as réussi. »
    
    « Oui, c’est vrai. »
    
    Nous avons ri, puis il est devenu sérieux. Il a de nouveau laissé son regard glisser le long de ma poitrine, de mes cuisses, ...
    ... puis il est remonté jusqu’à mon visage en disant :
    
    « Tu montres souvent ta chatte de cette façon, Émilie ? »
    
    Je me suis sentie monter rouge et j’ai baissé les yeux pendant une ou deux secondes. Puis j’ai répondu :
    
    « De temps en temps. »
    
    Il a dit :
    
    « Tu aimes le sperme ? »
    
    « Oui, pourquoi ? »
    
    « Parce que j’aimerais décharger dans ta bouche et que tu laisses bien couler mon sperme sur ton menton. Il y a un sous-bois de sapins, pas loin de là. Tu pourrais t’y foutre à poil et me sucer. Qu’en dis-tu ? »
    
    J’ai souri.
    
    J’ai pensé à Sarah le temps d’un éclair.
    
    Le nombre de fois où des hommes nous avaient proposé de leur tailler des pipes à l’écart des allées d’un parc…
    
    Le nombre de fois où j’en avais crevé d’envie.
    
    Je l’ai suivi dans le sous-bois. Je me suis mise à poil, puis accroupie pour le sucer. Il a gardé ses vêtements et m’a demandé d’ouvrir mes cuisses. Puis de me branler. Sa queue était dure, d’un gabarit classique. Son gland était énorme en revanche, gonflé à bloc. Je faisais tourner ma langue autour, comme avec un sorbet à la framboise. Ou bien je prenais la moitié de sa queue dans ma bouche, sans cesser d’enrouler ma langue, en le regardant dans les yeux, sans cesser de me branler.
    
    Il m’a dit :
    
    « Je ne te préviendrai pas quand je giclerai. »
    
    J’ai fait oui de la tête et il a ajouté :
    
    « Tu viens d’obtenir ta licence de lettres, n’est-ce pas ? »
    
    J’ai ralenti mes mouvements et froncé les sourcils en hochant la tête.
    
    Il a dit ...