1. Histoire d'étudiantes


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Allumer des hommes dans des lieux publics entre les cours à la fac, c’était notre passe-temps, à Sarah et moi. Surtout aux beaux jours. On s’y prenait de différentes façons, dans différents endroits : des terrasses de cafés, des parcs publics, des magasins, des rues piétonnes. On allumait et on se laissait parfois aborder et payer des verres, mais on en restait là.
    
    Notre jeu favori consistait à faire en sorte que des hommes seuls à des tables de terrasse de café puissent voir nos culottes. Cela fonctionnait très bien dans les parcs publics également. La tête que faisaient certains… Nous rions beaucoup. Nous n’avions pas de critères d’âge. Les jeunes comme les vieux y avaient droit. Nos culottes ou nos seins, mais il nous est arrivé plusieurs fois de ne pas mettre de culotte.
    
    Je me souviens d’un vieux monsieur, dans un parc, qui s’était assis à côté de nous et avec qui nous avions discuté assez longtemps. Il était aimable, respectueux, cultivé. À un moment donné, il a pris un air très sérieux et nous a regardé chacune notre tour avant de dire :
    
    « Quand je pense que je discute depuis plus d’une heure avec deux ravissantes demoiselles qui ont leurs petites chattes à l’air sous leurs jupes. »
    
    Voyant qu’on riait, il nous a proposé de le suivre chez lui.
    
    On a décliné.
    
    Nous aimions essayer des sous-vêtements dans des cabines de magasins de vêtements, en prenant soin de ne pas tirer entièrement les rideaux, de sorte à ce qu’on entrevoit nos culs.
    
    Nous aimions ...
    ... nous pencher en avant dans des grandes surfaces afin que des hommes bénéficient de vues plongeantes sur nos poitrines nues, parfois sur nos culottes quand on se mettait accroupies dans des rayons.
    
    Nous aimions porter des robes ou des tuniques semi-transparentes qui, dans la rue, laissaient deviner nos tétons ou nos culottes.
    
    Nous aimions nous montrer et, presque à chaque fois, à notre retour dans nos chambres d’étudiantes, Sarah et moi on baisait en se remémorant nos exploits du jour et en programmant ceux de la fois prochaine.
    
    Nous avons joué à ça pendant presque deux ans. J’ignore combien de fois nous avons décliné des invitations d’hommes qui n’en pouvaient plus, ne tenaient pas en place, restaient scotchés à nos cuisses ou à nos décolletés.
    
    Certains étaient délicats dans leurs propositions. D’autres ne l’étaient pas du tout. Nous avons eu à faire à des mecs de notre âge, à des hommes mariés, à des célibataires endurcis, à des messieurs à la retraite.
    
    On nous disait :
    
    « Me feriez-vous le plaisir de vous offrir un café ou une petite bière fraîche chez moi ? »
    
    On nous disait aussi :
    
    « J’aimerais vous voir faire l’amour ensemble sur mon lit ; je peux vous donner de l’argent, si vous voulez. »
    
    On nous a dit encore :
    
    « C’est quoi votre but ? Sucer des bites ? »
    
    Ou encore :
    
    « Je vous laisse mon adresse et mon numéro. Venez chez moi demain en soirée, habillées en petites putes. »
    
    Nous avons eu droit à tout.
    
    Dans nos chambres, en baisant, on ...
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