1. Histoire d'étudiantes


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Inceste / Tabou Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... parlait beaucoup. On se projetait des scènes. On imaginait qu’on avait cédé à la proposition de tel ou tel homme et que les choses avaient tourné de telle ou telle façon. On jouait avec des objets, on se défonçait. On se faisait jouir avec nos langues ou bien nos doigts. On se dévorait la chatte et le cul. On jouissait en échangeant des hypothèses. En se narrant des situations qui n’avaient pas eu lieu.
    
    Jusqu’au jour où j’ai craqué.
    
    On venait d’obtenir toutes les deux notre licence de lettres modernes, mais Sarah était allée déjeuner chez son frère. J’étais seule et j’ai bu pour célébrer l’événement. Du vin cuit. Il faisait un temps superbe, je me rappelle. J’étais à la fenêtre de ma chambre, à siroter mes verres, et ma tête tournait. J’avais envie de cul, alors je me suis masturbée. J’ai bu d’autres verres et j’ai recommencé : à poil sur mon lit ou dans ma cuisine, à me pénétrer avec des objets du quotidien et en m’imaginant des histoires. Ainsi jusqu’au milieu de l’après-midi. J’avais joui cinq ou six fois, mais ça ne suffisait pas.
    
    Alors j’ai choisi une robe. Je n’ai rien mis dessous.
    
    Et je suis sortie me promener.
    
    Je ne marchais pas très droit, c’est certain, et je suppose que j’ai souri bêtement à bien des hommes sur ma trajectoire. Je savais où j’allais. J’avais envie de jouer, exactement comme quand Sarah était avec moi, sauf que là j’étais seule. J’avais envie d’allumer. D’allumer à mort.
    
    J’ai choisi le parc public le plus proche et me suis assise ...
    ... sur un banc avec un bouquin. Je voyais un peu flou, d’autant que j’avais mis des lunettes de soleil. Je ne lisais pas vraiment ; je guettais autour de moi. J’étais à poil sous ma robe blanche et je savais qu’on devinait aisément la naissance de mes seins dans l’échancrure. Je montrais mes cuisses et je changeais souvent de position. Je me tenais à carreaux quand des couples passaient, ou des femmes avec des bébés, mais dès qu’un homme seul approchait, je faisais en sorte qu’il en profite un peu. Qu’il ait tendance à s’attarder à quelques mètres de moi pour essayer de voir ce qui se passait entre mes cuisses.
    
    Puis il y en a un qui s’est arrêté.
    
    En le voyant venir, j’avais étendu une jambe, tandis que le genou de l’autre était presque au niveau de mon menton. Je savais ce qu’il voyait, mais je faisais semblant de bouquiner.
    
    Il ne bougeait pas. Il me regardait.
    
    Je lui ai donné 45 ans.
    
    C’était la jonction de mes fesses qu’il voyait. Et un extrait de ma menue toison couleur châtaigne. Il voyait un petit bout de ma chatte, alors il s’est approché et m’a dit :
    
    « Je vous dérange, mademoiselle ? »
    
    J’ai baissé mon livre et répondu :
    
    « Non. »
    
    « Je m’appelle Marc. »
    
    « Émilie. »
    
    « Enchanté, Émilie. Vous attendez peut-être quelqu’un ? »
    
    « Non. »
    
    « Vous permettez que je m’assoie à côté de vous ? »
    
    « Si vous voulez. »
    
    Il s’est assis et j’ai relevé mes lunettes. Il me regardait en souriant très légèrement. Son regard alla de mes yeux à mes seins, ...