1. Le pied de Carine


    Datte: 08/12/2018, Catégories: ff, frousses, inconnu, fête, 69, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... liqueur féminine.
    
    — Tu es folle ? me dit gentiment la rousse, une fois au milieu du parc derrière la salle des fêtes.
    
    Ma seule réponse fut un large sourire. Une fois hors de vue des autres, elle me retint par le bras et m’obligea à lui faire face.
    
    — J’ai une chambre dans l’hôtel d’à côté. J’ai très envie que nous finissions la nuit ensemble. Tu viens avec moi ?
    
    Une dizaine de minutes plus tard, j’étais toute nue sur son lit, sa chevelure balayant le haut de mes cuisses, sa bouche me dévorant le minou avec gourmandise. Ce fut à mon tour de gémir, et de jouir en griffant les draps. Nous nous enlaçâmes longtemps, jambes entremêlées, seins contre seins, bouches soudées. Puis, les sens à nouveau en feu, nous nous lançâmes dans un 69 langoureux. Au-dessus de mon visage, sa fente débordait de mouille. Je lapais la belle rouquine, comme une chienne en chaleur que j’étais. En bas, entre mes cuisses, sa bouche m’embrasait le ventre. Un peu plus tard, après avoir succombé à un orgasme brûlant, nous nous regardions, l’air hébété, le visage barbouillé de cyprine.
    
    Ma jolie rousse ouvrit le mini bar et nous servit un verre de vodka, que nous ...
    ... allâmes déguster sur le balcon, une cigarette à la main, sans même prendre la peine de nous revêtir. Une fois nos verres vides, elle me prit par la main et me mena vers le lit.
    
    Ce n’est qu’au milieu de la matinée que j’ouvris un œil, non sans difficulté. La rouquine et moi étions entremêlées, et je n’osais bouger, de peur de la réveiller. Je n’eus pas longtemps à attendre. Elle ouvrit les yeux, me sourit, puis se laissa aller contre moi en soupirant.
    
    — Tu t’appelles comment ? m’enquis-je, en respirant ses cheveux.
    — Ah oui, c’est vrai ! dit-elle, la tête entre mes seins. On a baisé toute la nuit sans même nous connaître un tant soit peu. Moi, c’est Viviane, et toi ?
    — Moi, c’est Carine.
    — Ah oui, Carine et son merveilleux pied !
    
    Elle passa la pointe de sa langue sur un de mes tétons, puis me regarda.
    
    — Je pensais prendre un train cet après-midi, mais, finalement, je crois que je vais reporter mon retour à demain.
    — Ah oui ! Et pourquoi ? fis-je avec malice.
    — Pour ton cul, ma petite Carine, pour ton si joli petit cul.
    
    Puis elle colla sa bouche à la mienne et me fouilla de sa langue.
    
    Quand je vais raconter ça à Johana…
    
    FIN 
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