1. Le pied de Carine


    Datte: 08/12/2018, Catégories: ff, frousses, inconnu, fête, 69, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... rien n’était. J’en restais baba.
    
    — Ça marche !
    
    À plusieurs reprises, je glissai donc de sa cheville à son genou, lentement, avec douceur, du bout des orteils. En mangeant avec précaution mes boules à la noix de coco, je guettais les réactions de la belle rousse. Après avoir délicatement aspiré à la paille un peu de jus alcoolisé, tout en faisant claquer sa langue, elle planta son regard dans le mien et fit quelques commentaire sur notre dessert.
    
    Le cœur battant la chamade, mon pied remonta doucement sur l’intérieur de sa cuisse, sous sa mini jupe, en petits mouvements circulaires. Désormais, nous ne nous regardions plus en biais, et nous conversâmes sans rien laisser paraître de notre manège. Lorsque le bout de mes orteils toucha le tissu de sa petite culotte, je stoppai ma progression. Allait-elle me laisser continuer ? Mieux que ça ! Elle avança son bassin jusqu’au bord de son siège, puis écarta un peu plus les jambes.
    
    Passant une main sous la nappe, elle prit mon pied et le plaqua à la fourche de ses cuisses. Sa culotte était déjà bien humide, comme la mienne d’ailleurs ! Ses doigts voyagèrent un instant sur le dessus de mon petit peton. Je glissai donc mon pouce sous la fine dentelle, et progressai jusqu’à atteindre les poils pubiens. Je les effleurai, puis les caressai franchement. Alors qu’elle me parlait de son dernier livre de chevet, sa voix devenait plus rauque, pleine d’émotions contenues. Certains de mes orteils étaient humides de son nectar ...
    ... féminin.
    
    Je glissai mon pouce dans sa fente intime et le promenai délicatement de bas en haut. Je le poussai à l’orée de son vagin. Le visage de la belle rousse changeait d’expression, se crispant et se détendant sporadiquement. À l’évidence, elle faisait un gros effort pour tenir en place sur sa chaise. Mon gros orteil fit plusieurs fois le voyage entre son puits d’amour et son clitoris. Elle tripotait nerveusement sa serviette en papier, la froissant, la défroissant. Elle remettait sans cesse en place ses couverts, tournait son briquet entre ses doigts tremblants.
    
    Je cessai mes caresses pour me concentrer enfin sur son bouton de plaisir. Elle se renversa contre le dossier de sa chaise, crispa ses mains sous l’assise, tout en écartant ses cuisses au plus large qu’elle le put. Après quelques dizaines de secondes, elle se tut subitement. Elle me fixait, l’œil allumé, la respiration courte et saccadée. Brusquement, son visage se chiffonna, sa bouche se crispa, ses cuisses se refermèrent brutalement sur mon pied. Elle eut un violent spasme, un hoquet qui secoua son corps tout entier.
    
    — Tout va bien ? s’enquit son voisin, un peu inquiet à la vue de sa face rouge écarlate.
    — Merci, tout va bien, je me suis simplement retenue d’éternuer, répondit la rouquine à bout de souffle.
    
    Elle épongea son visage avec le mouchoir que je lui tendais.
    
    — Je vais prendre un peu l’air, tu m’accompagnes ?
    
    J’acceptai bien volontiers. Dans ma chaussure, mon gros orteil était enduit de sa ...