L'amante religieuse
Datte: 07/12/2018,
Catégories:
fh,
religion,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
confession,
Humour
initfh,
Auteur: Bouldegom, Source: Revebebe
... les tissus sous et derrière les oreilles ; les épaules et les points douloureux derrière les omoplates, la ceinture et le bas du dos, où s’accumulent les fatigues ; les fesses, les cuisses, les mollets et les pieds. Je me demande si elle s’est endormie. Elle n’a pas bougé, rien dit, et elle respire calmement. Non, elle m’attire contre elle avec langueur et me remercie.
Elle m’enlève mon slip, me pousse gentiment sur le dos, et elle s’allonge sur moi. C’est la première fois que nous sommes l’un contre l’autre, nus. Elle ne bouge pas, mais j’entends son cœur qui cogne. Elle m’embrasse longuement, puis elle écarte les cuisses, soulève un peu ma verge très dure, et vient placer l’entrée de son vagin dessus, sans vraiment appuyer. Mais, à nouveau, elle se met à trembler malgré la chaleur. Je fais mine de bouger, mais elle se cramponne dans la même position jusqu’à ce qu’elle se calme. Je lui caresse le dos, les fesses, les cheveux, sans bouger. Elle me pose un doigt sur les lèvres pour me demander de me taire. Quand elle se sent calme, elle bascule sur le côté et commence à me caresser les couilles. Je l’arrête gentiment.
— J’ai envie de caresser ton sexe, Suzanne. Tu me caresseras ensuite si tu veux.
Le désir et la crainte se disputent un instant, mais sans rien répondre elle se met sur le dos et écarte les cuisses. Je me couche un instant sur elle pour l’embrasser. Elle me retient dans ses bras et cherche ma verge avec son vagin. Comprenant son désir, je place mon gland ...
... à l’entrée de son sexe. Elle ne tremble pas. Elle ferme les yeux. Je l’embrasse tendrement, et je m’échappe.
Je commence à lui faire des petits baisers sur le ventre, en descendant doucement. Je vois bien ses petites lèvres, très brunes et assez longues. Tout est très sec. Avec beaucoup de patience et de douceur, je parviens à lécher ses grandes lèvres. Elle serre ses cuisses sur ma tête, puis se relâche. Avec mes doigts que j’ai bien mouillés, j’écarte et caresse, je visite les petits plis, j’humecte bien tout. Elle est tendue comme un arc, mais elle ne tressaille pas. Elle a pris ma tête dans ses mains, et elle me pousse et me retient. Tout doucement, sans cesser de la caresser de mes doigts mouillés, mais sans trop approcher du clitoris, j’ai amené ma bouche en face de sa vulve. Ma langue peut lécher les petites lèvres et l’entrée du vagin. Avec beaucoup de salive, je remonte très doucement vers le clitoris. Elle pousse un petit cri, mais ne retire pas ma tête. Fort de cette petite victoire, je la lèche un peu partout, jusqu’à l’anus. Un nouveau petit cri, en me tirant sans conviction. Je reviens gentiment à l’entrée du vagin, c’est une vierge, c’est clair, avec un hymen asymétrique un peu mauve sur fond rose vif. J’essaye un truc qu’adorait ma femme. Je pose doucement ma langue mouillée sur son clitoris, et, avec ma main, je fais bouger les grandes lèvres lentement d’avant en arrière. Elle me serre aussitôt la tête avec ses mains en répétant « oh, ça c’est bon » comme ...