Porno ou Érotico
Datte: 06/12/2018,
Catégories:
fhh,
fist,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hsodo,
poésie,
exercice,
hbi,
Auteur: Louise Gabriel, Source: Revebebe
... aussi.
L’excitation brise beaucoup de barrières, il suffit de tendre une main un peu indécente, caresser avec un peu plus d’attention le membre tendu de celui du premier rang, du plus curieux, pour qu’il se joigne à eux, à lui. Il lèche ses fesses mortes de désir, il continue à profiter de chaque pli et repli jusqu’à ce que, n’y tenant plus, il positionne de sa main cette raideur ensorcelante à l’entrée de son cul et s’empale jusqu’à la garde dans un grondement rauque. Elle sent les vibrations sensuelles de leur propre fusion.
Elle se retourne, parce qu’elle n’aime rien moins que contempler son regard lorsqu’il prend du plaisir, et elle lui offre son sexe brûlant et humide, attrape sa queue et l’enfourne aussitôt. Et le ballet continue, inlassablement.
Un autre, peut-être un peu plus timide au départ, se révèle des plus audacieux et vient prendre la place laissée vacante. D’abord sa timidité le freine un peu, il veut prendre son temps. Il suce le bout de ses doigts, les humecte de sa salive, les glissent doucement, si doucement, au bord de son anus, l’élargit de nouveau tranquillement. Sa lenteur lui devient exaspérante. Il introduit un doigt, un autre puis un autre encore, les retire tous d’un seul coup, revient du bout de la langue titiller l’entrée quémandeuse, la glisse à l’intérieur toute entière.
Il apparaît plus souverain, plus empressé, plus excité, il y met tous les doigts cette fois-ci. Sa main est plutôt fine pour une main masculine. Lorsqu’elle ...
... franchit dans sa totalité la barrière de chair, elle hurle son plaisir, elle chavire, les entrailles bouleversées, malmenées, embrochée sur cet avant-bras. Il coulisse avec délice, elle cambre ses reins, il bande à n’en plus finir, le jeune homme, de voir sa main ainsi engloutie, prisonnière, il se caresse la bite, le regard capturé par les ondulations de ces fesses féminines si voraces.
Il la retire, précipite sa bouche sur le trou béant, lèche, lèche encore les chairs enivrées qui se resserrent doucement autour de sa langue indécente. Il continue de se branler, mais il veut la chaleur humide autour de sa queue, il l’encule sans plus trouver aucune réticence, juste le suave, la moiteur, la langueur des entrailles qui épousent sa bite. Elle adore par-dessus tout son corps agent de liaison, sa peau feuille de papier pour écriture multiple.
Elles deviennent incandescentes, les pénétrations, son cul et sa chatte empalés sur des bites somptueuses – elles le sont toujours dans ces cas-là.
Quand ils se branlent de concert au travers d’une fine, si fine paroi de chair, qu’ils font monter leur plaisir, qu’ils sentent leur va-et-vient respectif, le bout de leur bite se caressant l’un l’autre, elle est aux anges, dans un paradis envoûtant.
Ils s’embrassent, ils se sourient, ils ne se disent plus rien. Ils ne sont plus qu’une chorale chantant la mélodie du plaisir, plus qu’un amas de corps qui dessine une des multiples versions de l’extase.
Elle aime l’odeur de toutes ces peaux ...