1. Porno ou Érotico


    Datte: 06/12/2018, Catégories: fhh, fist, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, hdanus, hsodo, poésie, exercice, hbi, Auteur: Louise Gabriel, Source: Revebebe

    ... caressent le dos, la nuque, elle rit, sourit à tout le monde, la transe de la séduction entame son chemin.
    
    Il est assis, tranquille, presque angélique, avec sur le visage une sérénité tout à fait étonnante au milieu ce tumulte d’alcool et de musique. Il est lumineux et solaire comme à l’habitude, son compagnon de jeux. Finalement, l’idée des réjouissances futures maquille toujours son visage de cette façon-là.
    
    Et arrive le moment où tout bascule dans d’autres perspectives, où son corps devient terroriste absolu, où elle ne souhaite plus qu’une seule chose, sentir, respirer, se gaver de queue, sans que plus rien ne puisse freiner cette pulsion devenue obligatoire et insupportable. L’envie court sous sa peau, la titille doucement au début puis devient de plus en plus présente, de plus en plus lancinante, exaspérante.
    
    Tous ses vides au fond d’elle deviennent gigantesques.
    
    Être dans la nécessité de se repaître de chair, de peau, être prédateur et proie tout à la fois.
    
    Alors elle lui prend la main. Il est resté paisible comme un enfant bien sage, sachant que son heure allait arriver, que sa patience serait récompensée de la meilleure manière qui soit. Il aime la multiplicité, et elle aussi.
    
    Elle aime les belles queues, et lui aussi. Il aime les mains qui glissent dans les endroits humides et chauds, et elle aussi.
    
    Ils vont ouvrir le bal des festivités, son petit côté exhibitionniste s’en trouve tout à fait satisfait, cela l’excite déjà. Il aime ...
    ... avoir un public averti qui saura l’apprécier dans un art où il excelle, et ils vont aimer à n’en pas douter. Elle est plus pudique, en somme, mais il sait la convaincre à chaque fois, d’une simple caresse. Sa peau est trop demandeuse pour ne pas oublier instantanément toutes les réticences. Elle aime l’idée de toutes ces queues qui vont se dresser au premier regard, de ces chattes qui vont devenir minaudantes et suppliantes.
    
    Ils se déshabillent à la hâte, jettent aux quatre coins de la pièce leurs vêtements. Plus de barrières, plus rien que la nudité brute, vivante et chaude.
    
    Il se glisse au fond de ses fesses sans aucun préambule, tout de suite au creux de son intime, dans la presque précipitation, parce qu’elle ne sait plus attendre, elle a besoin de la pénétration pour se calmer un peu, pour s’apaiser, au moins un instant, après il pourra prendre tout son temps dans son va-et-vient. Elle ne parle plus, n’émet que des mots devenus incompréhensibles.
    
    La sodomie, tout de suite, sa fulgurance électrique, cette sensation au creux des reins ondulant le long de la colonne vertébrale pour soumettre le désir dévorant.
    
    Il sait qu’elle aime ça, qu’elle a besoin de l’urgence sans aucune prévenance. Elle aime leurs yeux posés sur eux, sur leur danse venue d’un autre monde. Elle sait aussi qu’il voudra faire entrer d’autres jolies bites, d’autres peaux dans la danse, que lui, à l’intérieur d’elle, voudra sentir la même chose, avoir ce même plaisir, se faire enculer lui ...