1. Manu s'invite (3)


    Datte: 04/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Sherab, Source: Hds

    ... que d’une cartouche, il faut la réserver pour le plus beau gibier, s’exclame-t-elle en riant.
    
    Tout en concluant cette phase préliminaire, Manu se relève et vient s’allonger sur le lit. Elle est reposée et souriante, son t-shirt ne lui recouvre plus que sa frêle poitrine, ses genoux sont relevés, les cuisses à demi-fermées.
    
    - Un père de famille, bourgeois qui plus est, ça doit baiser en missionnaire, me demande-t-elle
    
    - Ça peut aussi se faire comme ça, réponds-je sans conviction en me glissant à quatre pattes pour la surplomber.
    
    Je m’attarde sur son pubis et tenter une léchouille maladroite :
    
    - Je te remercie de l’attention, mais réserve plutôt ça à ta femme, pour moi, ça ira comme ça.
    
    - J’ai tellement envie….
    
    - Eh bien, vas-y, donne le meilleur de ta personne et qu’on en finisse.
    
    Cette dernière réflexion m’a énervé, voire même dégoûté. Je passe mon genou droit, lui écarte les jambes et je suis prêt à l’embrocher. Manu me stoppe en me montrant un préservatif à enfiler.
    
    J’acquiesce, estimant en effet que ce serait plus logique et prudent ainsi. J’enfile donc le condom et reprend ma position antérieure. Manu écarte les cuisses en vraie professionnelle, sa tête est inclinée sur l’oreiller, à demi-cachée dans sa crinière, elle ferme les yeux. J’enfile son con avec violence et elle accuse le coup en couinant de douleur et en esquissant une grimace. Ses mains sont de part et d’autre de son corps inerte. La parfaite étoile de mer. Si ce n’était la ...
    ... jeunesse de ses tissus et de ses chairs, ma bite serait carrément dans le mou. Baiser une vache endormie doit donner plus de sensations. Du coup, je me mets à la limer comme un forcené, sans penser à rien d’autre qu’à la giclée qu’allaient produire mes couilles enflées. Je souffle tel un buffle escaladant une colline, je transpire, je pousse des reins et la petite prend cher. J’accélère le rythme voulant en finir et ça marche plutôt bien, vu qu’à ce stade, je bloque tout et accélère les derniers va-et-vient. Je sais que dans deux, trois tours, maximum, les chiens seront lâchés.
    
    Manu a suivi ma manœuvre et profite d’un petit moment d’inattention de ma part, s’esquive et me fait déjanter totalement. Je tape dans les draps et me rabote le gland, heureusement protégé par le latex, sur le coton bien sec du drap. J’en gueule de douleur, ou de frustration, je ne sais plus.
    
    - Cent vingt-cinq euros. Je crois que le compte est bon, me lance Manu, se dérobant sur l’autre moitié du lit avec un sourire carnassier.
    
    - Tu déconnes, Manu, ou tu es une vraie salope ? Pas maintenant, c’est dégueulasse de ta part. Même une vraie pute ne ferait pas ça à un client.
    
    - Pour deux ou trois cents euros, bien sûr que non, mais pour cent vingt-cinq, je suis sûr que si !
    
    - Je te paierai tout à l’heure, promis, ce sera la même chose.
    
    - Non, tout est payable d’avance. Va voir à l’accueil, avec ta CB, je crois que tu peux retirer des espèces.
    
    - Non Manu, je t’en supplie, ne me fais pas cette ...
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