1. Manu s'invite (3)


    Datte: 04/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Sherab, Source: Hds

    ... pantalon le pan de mon vêtement et s’emploie ensuite à libérer un à un mes poignets. Dans cette position, je ne vois plus son visage, enfoui sous ses cheveux ramenés sur le devant. La boucle de ma ceinture ne lui résiste pas longtemps et me poussant un peu, je m’assieds au bord du lit, elle tire sur les jambières du pantalon et me laisse en slip-chaussettes. En inclinant son buste j’entrevois ses deux tétons par l’encolure du t-shirt et malgré tout, à cet instant même, je dois reconnaitre que je ne bande plus beaucoup parce que je suis en train de mesurer le ridicule de la situation. Casanova devait s’y prendre autrement. Pas bégueule, elle reste à genoux pour rouler méthodiquement une à une mes chaussettes.
    
    Je suis là, tel un puceau dans le doute, à regarder cette nymphette m’éplucher. Satisfaite de cette première étape, en partant de mes genoux, elle remonte ses mains à l’intérieur de mes cuisses avec une lenteur perverse. Elle sait que je sais où elle va. Je sais qu’elle sait que j’en crève de désir. D’ailleurs, mon boxer se dilate un peu sur le devant et, passant par une jambière, elle attrape le tube qui pointe maintenant son nez. Enfin, non, elle ne l’attrape pas, c’est juste ce que je croyais, ou ce que je voulais un peu trop fort. Elle l’écarte de la main droite en passant dessous et se saisit de mes couilles en feu. Sa main est plutôt petite, mais elle a de la poigne, elle me les prend à la base et les tire vers le bas, vers elle donc. Elle s’immisce entre mes ...
    ... genoux et se rapproche de mon centre de gravité du moment.
    
    Elle sort mon zob de la main gauche, le relève et enfourne un testicule comme elle goberait un grain de Chasselas sur la grappe et elle le triture avec ses lèvres et sa langue, non pour en extraire immédiatement les saveurs, seulement pour accélérer la production du jus fécond. De l’un, elle passe à l’autre et ce, avec une aisance surprenante. Des bourses, elle remonte vers la base de la hampe en mordillant la peau par endroit et en mordant aussi à pleine gueule tel le chien qui veut rapporter son os. Elle bave abondamment et émet des bruits de succion intempestifs. Sa langue s’attarde le long du frein et titille toutes ses terminaisons ultrasensibles et loge enfin mon gland dans sa bouche humide. Bizarrement, ayant remonté sa main, elle souffle projetant de faire gonfler le prépuce le recouvrant encore, et ça marche. Elle découvre ensuite la partie charnue afin de mieux la lécher et la téter.
    
    C’est bon. Au-delà de toute espérance. Elle me pompe proprement, méthodiquement, avec douceur et fermeté. Quand elle fait une pause, elle crache sur l’objet et améliore encore mes sensations. Tant et si bien que je sens l’orage gronder, des éclairs me traverser la tête. Manu s’en rend compte immédiatement et me serre maintenant à deux mains la base de la verge et contient au mieux ma jouissance. Prudente, elle cesse de me pomper.
    
    - Il faut en garder pour toute la soirée, n’est-ce-pas, Papy ? Quand le chasseur ne dispose ...
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