DERRIERE LES MURAILLES DU CHATEAU (1)
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: granpolla, Source: Xstory
... tétins, me léchait la moule, me labourait la fente, me faisait jouir longuement et intensément. Mais au réveil, il n’y avait personne !
Je continuais à chercher une relation durable ; un temps, j’avais espéré conclure avec le nouveau garçon d’écurie, un petit blond au visage d’ange. Mais après quelques tentatives d’approche infructueuses, j’ai du me rendre à l’évidence : il était beaucoup plus attiré vers les personnes de son sexe, et je l’ai plus d’une fois surpris alors qu’il se roulait dans la paille avec un camarade.
Alors je me suis interrogée : j’ai compris que moi aussi je pouvais chercher parmi mes congénères. Mais pas les petites bonnes ou les filles de cuisine, non, il me fallait quelqu’un de haut rang parmi les domestiques comme Annie, la cuisinière.
Dès ce moment, je profitais de chaque petit moment de libre pour discuter avec elle. Au bout de quelques jours, j’étais devenue sa confidente. J’allais la voir dans sa chambre le soir et nous discutions sans limite.
Elle a fait le premier geste en me passant la main autour de la taille, ce qui était loin d’être innocent : en effet, elle en avait profité pour me toucher le sein droit !
Petit à petit, notre relation avait évolué. Désormais, nous nous rencontrions dans son lit : sous les draps, nous nous caressions à l’abri des regards. C’était une sensation que je n’avais jamais connu avec un homme. Et j’ose le dire : une sensation plus forte. Ses mains allaient et venaient sur mes seins puis elles ...
... descendaient sur mon ventre jusqu’à mon pubis. Ses doigts entraient alors un à un dans l’intimité de ma fente, me donnant un plaisir intense. Je lui rendais la pareille, effleurant délicatement son bouton de rose avant de partir à la recherche de son point sensible en enfonçant mon index dans sa minette : alors, immanquablement, son corps se convulsait de plaisir...
Quand elle voulait corser nos relations, Annie sortait de son tiroir des objets de forme phallique qu’elle insérait dans l’un ou l’autre de mes orifices. Je n’en avais jamais vu auparavant mais je dois confesser qu’ils me donnaient bien des satisfactions. Parfois même, sans l’avouer à Annie, je lui en avais emprunté un pour en profiter seule dans mon lit. Mais bien vite, je revenais dans le sien, où elle me faisait profiter de son expérience, qui me paraissait immense. Annie était experte ès caresses buccales : autrement dit, elle savait me lécher le minou comme personne ! J’essayais de l’imiter, et je peux dire sans me vanter que je la faisais vite monter au plafond rien qu’en titillant son berlingot. Nous étions toutes les deux au comble du bonheur. Notre relation durait depuis plusieurs mois déjà quand j’ai commis une petite imprudence.
Il y avait ce soir-là un grand banquet au château. De nombreux serviteurs extérieurs venaient en renfort. Le soir, dans les sous-sols du château, tous les domestiques étaient conviés à une soirée dansante. Un des valets jouait de l’accordéon et nous dansions au rythme d’une valse ...