DERRIERE LES MURAILLES DU CHATEAU (1)
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: granpolla, Source: Xstory
... justifier pourquoi il était aussi peu entreprenant avec moi comme avec toutes les autres domestiques. Comme je regrettais alors mon village où certains hommes ne se gênaient pas, au cours d’une promenade, pour m’attirer dans une grange déserte et me culbuter sur une botte de paille ! Mais ici, ça ne risquait pas d’arriver. Et pourtant, en y regardant de plus près, il s’en passait des choses à l’abri des murailles du château !
Comme ce jour où Albert m’avait fait appeler : notre maître rentrait de la chasse, sa grande occupation. Il avait tout de suite été prendre son bain comme de coutume. Répondant à l’appel d’Albert, je suis allé le rejoindre : notre maître ne paraissait pas le moins du monde gêné que je le voie nu comme au premier jour. Il m’a ordonné de sa voix grave :
-Viens me laver ! Tu as sûrement une main plus douce que celle d’Albert !
Je me suis approchée de la baignoire et c’est alors que j’ai vu sa petite chose ! Ce n’était pas du tout ce que j’avais imaginé ! Elle était tout à fait semblable à celle d’un paysan que j’avais fréquenté dans mon village : il n’ y avait donc aucun privilège aristocratique de ce côté-là ! J’ai savonné mon maître en prenant garde à ne pas toucher ses parties intimes ; mais il m’a réprimandé :
-N’oublie pas de savonner mon petit oiseau !
J’ai eu un choc en entendant mon maître prononcer cette phrase. Pour moi, il y a des choses qui sont sacrées et un domestique ne doit pas avoir de contacts trop intimes avec son ...
... maître. Il y avait comme un sacrilège dans ce qu’il me demandait. J’ai failli quitter la pièce à cet instant. Toutefois, je me suis ravisée : le devoir avant tout ! J’ai donc pris délicatement sa chose entre les doigts. Immédiatement, elle a commencé à devenir de plus en plus dure. J’ai rapidement passé un peu de savon dessus et je l’ai lâchée très rapidement.
Désormais, à chaque fois qu’il revenait de la chasse, mon maître me demandait de le laver. Mais maintenant, il insistait aussi pour que je lui savonne ses olives. Souvent je me suis demandé pourquoi la nature avait conçu des organes aussi sensibles. On racontait qu’il suffisait de les presser légèrement pour provoquer chez leur propriétaire une douleur intense. Je les soulevais délicatement pour les savonner, comme on fait à un petit enfant. Tant qu’il ne poussait pas de cris, tout allait bien !
Jusqu’à ce jour où en lavant sa petite chose, j’ai vu jaillir un liquide blanchâtre au sommet de son gland : j’ai tout lâché et je me suis enfuie, de peur qu’il ne m’en fasse le reproche!
En me retournant, j’avais de la peine à croire ce que je voyais : il était sorti de sa baignoire et il courait dans le château en me criant de revenir. Soudain, il a réalisé qu’il était ridicule et il est reparti ; mais plus jamais il ne m’a demandé de le laver !
Pendant ce temps, je n’avais toujours pas de partenaire amoureux. Faute de mieux, j’imaginais dans mon rêve Albert qui était blotti contre moi sous les draps, me titillait les ...