D'aussi loin que je me souvienne...
Datte: 02/12/2018,
Catégories:
essayage,
sexshop,
cinéma,
train,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
confession,
cocucont,
Auteur: Epikuri1, Source: Revebebe
... jouets qui permettraient de simuler le trio, d’autres permettant d’élargir son anus, bien que je ne m’y sentais pas à l’étroit ni qu’il fût douloureux de m’y accueillir, mais pour le préparer à des invités plus larges. Une fois quelques articles dans le panier, dont ceux décrits à l’instant, nous avons rejoint la seule cabine d’essayage. Assez vaste pour y entrer à deux ou trois, un rideau qui n’obture pas entièrement l’entrée, et surtout située à un angle stratégique, me suis-je immédiatement dit, afin de faire profiter les éventuels clients.
La guêpière aux seins nus ayant besoin d’un ajustement, le jeune homme ne s’est pas gêné pour toucher ses seins, ses cuisses, ses fesses en gardant le rideau ouvert malgré les clients/voyeurs qui s’étaient approchés.
Bien à l’étroit dans mon pantalon, j’étais fier de la passivité de ma douce, fier que ces hommes m’envient d’avoir à mes côtés cette femme « qui ose ».
L’apothéose fut lorsqu’il prit le gode dans notre panier et le lui fit pénétrer profondément. Debout, adossée à la cloison, jambes écartées et les yeux fermés, elle se laissa aller tandis qu’il faisait des va-et-vient dans son ventre et alternait succions et masturbations de son clitoris.
Le monde pouvait s’arrêter de tourner… J’ai joui le sexe à la main, répandant mon sperme sur le sol, très vite accompagné de celui des trois hommes qui se rinçaient l’œil. Avec le recul, je me suis dit que la situation était délirante ; comment avions-nous pu… (le gode nous ...
... fut offert avec une invitation à revenir ; et chaque fois que nous l’utilisions, nous repensions tous deux à cet après-midi particulier). Réflexion vite oubliée, tant j’étais fier qu’elle s’aide de mon bras, la tête posée sur mon épaule, pour rejoindre le métro.
C’est à Montpellier qu’un pas a été franchi sans l’avoir prémédité. Dans un cinéma X discret et peu fréquenté. Elle portait pour l’occasion un trench à boutons, une courte jupe portefeuille et un pull de coton léger, et surtout ajouré, à mailles. Nous nous sommes acquittés des billets et sommes entrés dans la salle. Il y faisait sombre, et seule la luminosité du film sur l’écran éclairait nos pas. Très vite, les visages clairs des personnes présentes qui s’étaient retournées nous sont apparus : une dizaine tout au plus ; que des hommes, nous constaterons plus tard.
Quelques pas hésitants et nous voilà installés au milieu du dernier rang. Immédiatement, je lui ai demandé son trench et ai glissé ma main très haut entre ses cuisses. Le film, sans grand intérêt et dont j’ai oublié le titre, défilait sur l’écran ; mais c’est dans la salle que le spectacle se déroulait. Le ballet hésitant des hommes tentés d’approcher avait commencé. Elle n’était cette fois pas très rassurée de se sentir comme une proie au milieu de prédateurs, mais je l’ai rassurée et leur manège ayant fini par se calmer, elle se détendit.
Si nous étions seuls dans la rangée et alentour à notre arrivée, nous avions maintenant un voisin à ma gauche, ...