1. 20 ans après


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fh, grp, frousses, rousseurs, extraoffre, inconnu, alliance, poilu(e)s, bain, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... bain. Elle est aussi belle que son frère, avec une belle paire de nichons qui va encore prendre du volume. Sous les bras, elle a rasé les poils, mais la foufoune est encore bien rousse. J’ai pu bien la voir, car dans sa pudeur à se couvrir devant sa mère, elle n’avait pas perçu que la serviette dissimulait ses nichons, mais pas sa toison ; elle était trop courte.
    
    Jacques caresse doucement les poils pubiens d’Emmanuelle comme il le ferait avec le pelage d’un animal. Il gratte délicatement la peau, et un doigt se faufile pour effleurer le bord des lèvres vaginales.
    
    — Au moins elle n’a pas fait la connerie de se raser la chatte. Les femmes rousses – les vraies rousses comme Isabelle Huppert ou toi, ma chérie – commettent un véritable crime si elles éradiquent leurs poils pubiens.
    — C’est un choix individuel, mon chéri.
    — Souvent c’est un diktat imposé par les hommes. Encore qu’une blonde ou une brune se rase, j’ai du mal à comprendre pourquoi et je trouve cela bien malheureux. Mais lorsqu’une femme qui, comme toi, a une foufoune aux si belles teintes, pourquoi devrait-elle devenir glabre ? J’aime les chattes poilues, ma chérie ; je trouve que les sexes glabres manquent de charme, ils perdent une part de leur mystère. Heureusement, notre fille n’a pas commis cette bêtise.
    — Tu as raison. Mais rien n’est gagné car son mec ne supportera peut-être pas une belle pilosité et lui demandera d’éradiquer le tout, ne gardant alors rien de sa mère. Car lorsque j’ai baisé avec lui, ...
    ... il m’a semblé que ma touffe ne le branchait pas un max. Je crois même qu’il a dit entre ses dents « Putain, on n’y voit rien. Quelle merde, une telle forêt vierge ! Il y a en autant chez la mère que chez la fille… » ou quelque chose d’approchant.
    — Quel manque de goût ! s’exclame l’homme amateur inconditionnel des poils.
    — Les filles glabres disent que c’est hygiénique.
    — Pourquoi ? Les poils sont sales ? Je n’en crois rien.
    — Là encore je partage ton avis : je crois plus celles qui osent avouer que c’est plus sexy.
    — C’est ce qu’elles croient à tort, réplique Jacques, car la pilosité est associée à la production de testostérone qui est l’hormone du désir. Le poil, surtout au niveau du minou, est synonyme de sensualité. Les odeurs du sexe, que conservent les poils, ont un pouvoir aphrodisiaque.
    — Tu en sais des choses… lui dit sur un ton amusé Emmanuelle.
    — Je me suis renseigné et j’ai lu des articles sur la question.
    — Je sais que tu as toujours bien aimé ma touffe. Je n’ai jamais pensé à m’épiler, ni les poils de mes aisselles, ni ceux de ma touffe. Parfois je coupe un peu pour que ça ne soit pas trop long. Après ton départ, j’ai continué à faire l’amour – ou à baiser, selon les cas – avec les autres hippies de notre communauté ou d’autres qui venaient séjourner. J’ai eu la chance de ne choper aucune saloperie, contrairement à d’autres filles.
    — Certes, il n’y avait pas de SIDA, note Jacques, mais il y avait d’autres MST.
    — Je ne crois pas qu’un seul de mes amants ...
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