1. 20 ans après


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fh, grp, frousses, rousseurs, extraoffre, inconnu, alliance, poilu(e)s, bain, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... manière de vivre n’est plus la même. Je ne sais même pas pourquoi je suis ici. » Pourtant, il sort de son véhicule et ses pas le portent jusque sur les marches qui montent devant la porte du gîte. Ne voyant pas de sonnette, il frappe à la vitre.
    
    — Jacques ! s’exclame Emmanuelle en ouvrant la porte.
    — Oui, c’est bien moi. Ne me dis pas que je n’ai pas changé, je ne te croirais pas.
    — Je ne te le dis pas. Mais par contre, je ne t’attendais plus. Je pensais que tu avais perdu l’adresse de la communauté où nous avons vécu.
    — Non, tu vois. Je m’en suis tenu écarté, et comme je passais dans le coin, je me suis demandé ce qu’il en restait.
    — Pas grand-chose, pour ne pas dire rien du tout.
    — Sauf des souvenirs et une ravissante rousse que je regrette d’avoir abandonnée.
    — Viens, Jacques, dit Emmanuelle, suis-moi.
    
    Elle l’entraîne dans le gîte, passe une porte où il est indiqué « Privé », débouche dans une chambre. Là, sans dire un mot, elle fait passer sa robe par-dessus sa tête. Elle ne porte pas de soutien-gorge, pourtant sa poitrine est restée ferme, fièrement plantée sur son buste. Naturellement, à 45 ans, ses jolis seins ont tendance à pencher un peu, mais sans que cela soit disgracieux.
    
    — Tu as toujours de magnifiques seins.
    — Tu trouves ? Ils n’ont pourtant plus la même fermeté que lorsque j’avais vingt ans. Mais j’aime toujours qu’on me les malaxe.
    
    Ne montrant aucune pudeur en face de son ancien amant, elle enlève sa culotte, dévoilant un buisson aux ...
    ... couleurs de l’automne.
    
    — Et ta merveilleuse toison intacte… Sous les bras également tu as gardé cette douce toison. Oh, Emmanuelle, j’ai tellement envie de toi !
    — Alors, viens ! Déshabille-toi, et viens que nous fassions l’amour comme les jeunes gens que nous étions.
    
    Jacques n’hésite pas une seconde et, aussi vite que sa compagne, il quitte ses habits. Ils se retrouvent tous les deux nus, comme au temps où la nudité était un mode de vie. Ils s’enlacent étroitement, s’étreignent, partagent un langoureux et sensuel baiser où leurs langues se mêlent, ils s’échangent leurs salives. Emmanuelle sent le sexe tendu de son amant venir frapper sur sa hanche ; elle le saisit d’une main et lui dit d’un air malicieux :
    
    — Je vois que tu n’as pas perdu tes veilles habitudes : comme par le passé, tu me montres que tu as vraiment envie de moi.
    — Oui, j’ai plus que jamais envie de toi, mon amour. J’ai terriblement le désir de te faire l’amour.
    — Cela fait si longtemps qu’un homme ne m’a pas fait connaître son désir pour moi de cette façon, sans détour, de manière si démonstrative et pourtant sans dire un mot, ni « je t’aime », ni « je veux te sauter »…
    — Ma queue t’indique que je veux te sauter tandis que mon cœur te dit que je t’aime. Je t’aime mille fois plus qu’à mon départ.
    — Et si tu n’as rien perdu de tes dispositions à me faire jouir, j’ai bien fait d’attendre ton retour.
    
    Leurs corps basculent sur le lit et Jacques vient baiser les seins de la femme. Les tétons sont déjà ...
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