1. 20 ans après


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fh, grp, frousses, rousseurs, extraoffre, inconnu, alliance, poilu(e)s, bain, forêt, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    «Sous la pluie »
    
    Les années 1970 étaient une époque sans SIDA. Cela ne veut pas dire qu’il n’y avait pas de MST, mais les antibiotiques rendaient guérissables la plupart de ces maladies, telle la syphilis. La menace était donc moindre.C’est à Paris que Leïla a rencontré Jacques. Le jeune homme découvre avec elle – et à sa demande – une sexualité basée sur la fougue, la brutalité, une certaine dose de cruauté. Leïla, qui est en couple avec un jeune homme fortuné, le quitte avant qu’on ne lui mette la corde au cou par un mariage. Elle veut rejoindre une communauté hippie dans le sud de la France. Elle persuade Jacques de l’accompagner.«La communauté »Au sein de cette communauté, Jacques découvre une nouvelle façon de vivre et effectivement une possibilité d’expérimenter une sexualité libre, saine et décomplexée. Les membres sont, tout au long de la journée, totalement ou partiellement nus et les expériences sensuelles multiples.«Larzac »Jacques noue avec Emmanuelle une relation amoureuse fusionnelle. Pour autant, ils continuent à partager avec leurs compagnons les valeurs de paix et d’amour, la liberté sexuelle et la pluralité des partenaires. Ils ne vivent pas en dehors du monde réel, s’associant à des actions d’envergure, telle la lutte des paysans du Larzac.«Jacques, loin des hippies »En 1974, Jacques quitte la communauté et prend la direction de l’entreprise familiale après le décès de son frère. Il s’est marié, mais son union étant un ...
    ... échec, c’est avec son ex-belle-sœur et la fille de celle-ci qu’il assouvit ses besoins sexuels.
    
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    Jacques arrive par un après-midi d’automne dans le village proche de la communauté hippie où il a vécu il y a de cela 20 ans, de 1970 à 1974. Il a un pincement au cœur lorsqu’il se souvient de cette lettre reçue de sa mère qui lui intimait l’ordre de venir pour les obsèques de son frère. Il s’était senti obligé de quitter la communauté en jurant à Emmanuelle qu’il l’aimait : « Ne t’inquiète pas, mon amour, je reviens très bientôt. »
    
    Le destin en a voulu autrement.
    
    Lorsqu’il est devant la piste qui mène à la communauté, il constate qu’elle est devenue bien plus carrossable qu’à l’époque. Il hésite. Il se demande si, après tout ce temps, il est opportun de revenir. Il s’engage tout de même et arrive sur une sorte d’esplanade où sont garées deux voitures dont une Coccinelle hors d’âge et un pick-up pas tout neuf non plus. Il a du mal à reconnaître les deux bâtiments qui s’élèvent devant lui. Dans son souvenir, il y a la bergerie et fromagerie sur la gauche, et une ruine sur la droite. Aujourd’hui, c’est l’inverse : le bâtiment destiné aux bêtes semble abandonné tandis que la ruine est devenue une maison d’habitation. Sur le devant, il y a un panneau indiquant « Gîte d’étape ».
    
    « Qui vais-je retrouver ?se demande-t-il.Peut-être ceux qui tiennent ce gîte n’ont-ils rien à voir avec les membres de la communauté. S’ils reçoivent des visites, c’est que la ...
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